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Times of Israël en français | Pierre Lurçat
mercredi 1er avril 2020
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Chaque grande crise est l’occasion d’une réflexion renouvelée sur les questions premières, trop souvent oubliées dans le train quotidien des affaires du monde. Elle est aussi, comme l’avait pressenti le rabbin Avraham I. H. Kook, pendant le cataclysme de la Première Guerre mondiale, la possibilité de faire émerger un monde nouveau. (“Le désastre actuel prépare un profond renouvellement”, écrivait-il alors). (1)
Dans la profusion de réflexions suscitées par la crise actuelle du Coronavirus, qui ébranle les “fondements de la terre”, nous voudrions esquisser le chemin d’une pensée qui envisage celle-ci non pas seulement comme une crise sanitaire, économique ou politique, mais aussi comme une crise touchant au rapport de l’homme au monde.