Le manque d’eau était l’un des arguments avancés par les fonctionnaires du Mandat Britannique d’avant-guerre afin de restreindre l’immigration Juive en Palestine. 60 % du pays est en effet désertique, alors que le reste de sa superficie est défini comme semi-aride. Une « terre aride, sèche et stérile » écrivait Marc Twain dans Le Voyage des innocents en 1869.
Aujourd’hui, soixante-dix ans plus tard, Israël a inversé les données à l’aide d’une politique et d’une innovation audacieuse. Le pays qui buvait son eau avec parcimonie a été transformé en une contrée où coulent non seulement le lait et le miel, mais aussi l’eau douce, et en abondance.
Israël : l’eau, un enjeu complexe
Times of Israël en français | Bruno J. Melki
Article mis en ligne le 29 octobre 2019