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Shmuel Trigano | menora.info
dimanche 30 juin 2019
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Ce qui fascine, avant tout, dans la question des « territoires », c’est le mur idéologique et terminologique qui les entoure, les désignent et, en même temps, les occulte dans la conscience collective. Car voici 450 000 citoyens israéliens qui s’y sont installés et y résident, tout en étant poussés hors de l’ensemble de la communauté nationale ; voici des territoires inextricablement liés par la géographie aux territoires de l’Israël de 1967 tout en en étant séparés et dissociés dans la structure administrative. C’est jusqu’à la terminologie même qui est concernée, tout d’abord avec la distinction étonnante – qu’on ne saisit qu’en parlant l’hébreu – entre « mityashvim » (ceux qui « s’installent », soient les Israéliens d’avant 1967) et « mitnakhalim » (soient les Israéliens qui se sont installés en Judée Samarie, après 1967), ceux que la Gauche israélienne et après elle les Occidentaux, identifient à des « colons ».
Ce Colloque des Intellectuels Juifs de Langue Française a pour thème, ’la montée des violences’. Ce thème aura toujours accompagné l’histoire de l’humanité. Violences politique, religieuse, sociale, économique, voire même discursive, les humains n’auront cessé de se faire violence, et ce même lorsqu’ils prétendaient l’éradiquer en cherchant à dispenser le bien. Cette relance du Colloque des Intellectuels Juifs de Langue Française apporte une attention toute particulière à ce qu’il convient de nommer une résurgence de la violence affectant aujourd’hui les communautés juives de France et d’Europe.
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