Comme il était prévisible, les réactions de certains pays à l’annonce faite par le président Trump n’ont pas tardé : la Russie mais aussi la Turquie ont condamné cette reconnaissance.
Mais une fois de plus, l’Europe a choisi d’être du mauvais côté de l’Histoire et d’amener les mêmes arguments que la centrale terroriste de l’Autorité Palestinienne.
Des hauts responsables de l’Union européenne ont tout de suite fait part de leur “vive inquiétude” et sans rire, ont averti que cette reconnaissance unilatérale pourrait amener…de l’instablité dans cette zone, qui comme tout le monde le sait vit dans un calme paradisiaque depuis sept ans.
Reconnaissance du Golan : les Européens sur la même longeur d’ondes que l’AP
Shraga Blum | le P’tit Hebdo
Article mis en ligne le 22 mars 2019