Terrorisme : « réduire au strict inévitable l’évocation des figures du crime », BHL, juillet 2016
BHL
Article mis en ligne le 7 février 2018
Un groupe de médias français annonçaient en juillet 2016 qu’ils ne diffuseraient plus les portraits des auteurs d’attentats et pour certains, qu’ils ne divulgueraient non plus leurs noms afin de les reléguer à l’anonymat.
Après l’attentat meurtrier à l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, quelques voix s’étaient levées, notamment celle de Bernard-Henri Lévy, quant à la surmédiatisation des assassins.