Quelque 500 Jordaniens furent d’abord libérés contre le rapatriement de deux pilotes tombés près de la frontière irakienne et des dépouilles mortelles de deux autres. Le retour des corps de soldats morts sur le champ de bataille à l’étranger est une exigence, car les rites d’inhumation revêtent une importance particulière dans la religion juive et l’opinion publique israélienne. Environ 700 Syriens quittèrent ensuite leur camp de détention, un mois après le cessez-le-feu. Un pilote israélien fut alors remis à ses autorités. Trois corps furent rendus. Trois agents, un Arabe israélien, un Australien et un Autrichien furent libérés
Il y a cinquante ans, Israël récupérait tous ses agents.
Israël Magazine
Article mis en ligne le 28 janvier 2018