Jadis, Mamré était un marché prospère où juifs, païens et premiers chrétiens se livraient au commerce, tout en pratiquant leurs différents rituels religieux. Mais pour les 250 visiteurs qui s’y sont rendus il y a quelques semaines, le spectacle qui s’offrait paraissait beaucoup plus désolé. Le grand champ aujourd’hui désigné sous le nom d’Elonei Mamré (les chênes de Mamré) se distingue par ses murs de pierre massifs, ses piliers dispersés et quelques ruines éparses.
Le voyage s’est déroulé la veille du chabbat de la paracha Hayei Sarah, la section de la Torah qui décrit l’acquisition de la grotte de Mahpela par Abraham.
Arbres vénérables
Jerusalem Post Edition Française BY BEN BRESKY
Article mis en ligne le 15 décembre 2017