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France Culture
samedi 4 novembre 2017
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Faut-il parler d’antisémitisme ou de judéophobie ? Les deux termes ne sont pas équivalents, et le second fait référence à un essai très polémique publié par Pierre-André Taguieff il y a quinze ans. Explication de texte.
Faut-il dire “antisémitisme” ou “judéophobie” en 2017 alors qu’une stèle à la mémoire d’Ilan Halimi à Bagneux a été profanée pour la deuxième fois à la Toussaint ? Le choix des mots dans l’éditorial du Monde daté du 3 novembre trahit une vieille hésitation. L’édito en question a trait à une enquête publiée par ailleurs par le quotidien, qui raconte la peur d’une partie croissante de la communauté juive en France, et la montée des agressions vis-à -vis de Juifs en France. Le billet est titré “_L’antisémitisme ordinaire, en France en 2017_” mais, dès le chapeau de l’article, évoque “une « nouvelle judéophobie » qui sévit dans les banlieues françaises”.
Ce Colloque des Intellectuels Juifs de Langue Française a pour thème, ’la montée des violences’. Ce thème aura toujours accompagné l’histoire de l’humanité. Violences politique, religieuse, sociale, économique, voire même discursive, les humains n’auront cessé de se faire violence, et ce même lorsqu’ils prétendaient l’éradiquer en cherchant à dispenser le bien. Cette relance du Colloque des Intellectuels Juifs de Langue Française apporte une attention toute particulière à ce qu’il convient de nommer une résurgence de la violence affectant aujourd’hui les communautés juives de France et d’Europe.
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