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LDJ | .lexpress.fr
mardi 26 septembre 2017
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La philosophe Élisabeth Badinter s’émeut de la non-mobilisation face aux violences antisémites des dix dernières années. Et analyse les changements politiques qui l’expliquent.
Au cours des dernières décennies, vous ne vous êtes jamais exprimée publiquement -que ce soit sous forme d’entretien ou de texte- sur la question de l’antisémitisme. Pourquoi le faire aujourd’hui ?
Ce qui m’a décidée, c’est ce qui s’est passé avec Sarah Halimi. Le silence médiatique et politique qui a entouré le martyr de cette femme[NDLR : rouée de coups pendant une heure puis défenestrée au cri d’ »Allahou Akbar » la nuit du 4 avril dernier] m’a énormément perturbée.