Le gouvernement argentin précédent, dirigé par Cristina Kirchner, avait catégoriquement nié toute collusion avec le régime iranien, notamment l’existence d’un accord secret qui prévoyait notamment des exportations iraniennes de pétrole à prix préférentiel en contrepartie d’un étouffement de l’enquête sur la responsabilité iranienne dans le terrible attentat commis à Buenos Aires en 1994 contre les locaux de la communauté juive AMIA.
Un journaliste argentin, Pappe Eliyachev avait notamment révélé la tenue d’une rencontre cruciale et secrète qui s’était déroulée en Syrie en 2011 entre le ministre iranien des Affaires étrangères Mohamad Jawad Zarif et son homologue argentin Hector Timmerman.
Argentine : nouvelles révélations sur les relations entre le gouvernement Kirchner et l’Iran
Shraga Blum | le P’tit Hebdo
Article mis en ligne le 24 août 2017