« Depuis sa mort début juillet 2016, nous sommes orphelins, mais de ce fait nous devenons les témoins du témoin, les témoins des témoins disparus avant lui, » confie Michaël de Saint Cheron, philosophe des religions et écrivain.
Vous venez de réaliser une exposition sur l’écrivain et philosophe américain Elie Wiesel eu Centre Fleg de Marseille. De quoi s’agit-il ?
Michaël de Saint Cheron : Il s’agit de la première exposition en langue française consacrée à Elie Wiesel, à l’initiative de Martine Yana directrice du centre Fleg et produite par le FSJU. Il faut espérer maintenant que de nombreux centres culturels juifs ou non – la reçoivent. Faisons tous que cette exposition après Marseille voyage dans toute la France et pourquoi pas au-delà… Je remercie en tout cas Martine Yana de m’avoir proposé d’en être le « curator » comme disent les anglo-saxons, c’est à dire le commissaire.
La figure d’Elie Wiesel
Time of Israel en français | ABRAHAM RABINOVICH
Article mis en ligne le 18 février 2017