D’importantes campagnes sur les réseaux sociaux menées par Yad Vashem, Israël, et le Congrès Mondial Juif mettent l’histoire et le souvenir à la portée de tous
C’est remarquable de se sentir lié à quelqu’un que vous n’avez que virtuellement rencontré. C’est encore plus le cas quand cette personne est décédée depuis 75 ans. Et pourtant, un programme de correspondance aléatoire – l’IRemember Wall de Yad Vashem- permet de mettre en lien un utilisateur de Facebook à une victime de l’Holocauste d’une manière très profondément personnelle.
Pour l’auteur de cet article, le nom Chaim Gindel est un nom parmi tant d’autres qui ont été répertoriés par le centre de données des victimes de la Shoah du musée. Et pourtant cet homme a une histoire : il est né à Ołyka, en Pologne, en 1928.
Les initiatives pour commémorer les victimes de la Shoah à travers le monde
Times of Israel en français | Amanda Borschel-Dan
Article mis en ligne le 28 janvier 2017