Diplomates, vous avez le choix entre deux conférences internationales pour la paix : au Kazakhstan pour la Syrie, à Paris pour le Proche-Orient. Il n’y a pas photo. Se casser la tête pour départager rebelles islamistes et islamistes tout court, chercher un remplaçant moins brutal qu’Assad et quelques factions prêtes à le soutenir, résister à la pression des Russes, Iraniens, Turcs et autres Hezbollah… Ou bien se mettre autour d’une table à Paris, côtoyer des personnes distinguées et réitérer l’urgence de régler « le plus vieux conflit » en appliquant enfin la plus veille solution : deux états côte à côte en sécurité.
Conférence de paix douce amère
par Nidra Poller - InfoEquitable
Article mis en ligne le 18 janvier 2017