Cher Mr. Juncker, Israël n’avait pas été attaqué depuis quelques semaines par l’Union Européenne. J’ai d’abord pensé que c’était à cause de vos propres problèmes graves. J’avais tort. L’UE a, cependant, à présent exprimé sa forte opposition à notre Loi de régulation [des implantations][3].
L’un de mes conseillers pense que s’il n’y a pas d’opposition ni de condamnation d’Israël pendant trois mois, de la part de l’UE, il s’agit d’un indicateur central que votre organisation part en pièces détachées. Je lui ai expliqué que l’analyse politique n’est pas aussi simple. En même temps, le jeune membre subalterne de l’équipe qui s’occupe pour moi des problèmes générés par l’UE a déclaré qu’il ne parvient plus à s’en occuper seul et qu’il a besoin d’un assistant dans le but de se maintenir informé de tous les revers subis par l’UE.
La 3ème lettre que Netanyahu n’a (toujours) PAS écrite à Jean-Claude Juncker
Par Manfred Grestenfeld - Adaptation : Marc Brzustowski.
Article mis en ligne le 23 décembre 2016