À l’été 2014, au milieu des 50 jours de guerre de Gaza (opération Tsouk Etan), l’administration Obama a trahi son « plus grand allié au Moyen-Orient » en suspendant les livraisons d’armes à Israël, et a retardé la livraison des États-Unis concernant les missiles Hellfire vers Israël car la Maison Blanche s’est dit préoccupée car Israël pouvait utiliser des missiles dans les zones de forte population à Gaza. L’inimaginable est arrivé.
Cet acte de trahison a immédiatement conduit Israël à réévaluer ses points de vue sur l’aide des États-Unis, en particulier l’idée qu’il pouvait toujours compter sur eux, même en temps de guerre. Israël a alors lancé de nouveaux projets d’armement afin de réduire sa dépendance à l’égard des armes américaines.
Trahi par Obama en 2014, Tsahal se prépare militairement en cas d’embargo
Alyaexpress-News
Article mis en ligne le 11 novembre 2016