Pendant la guerre froide, les deux camps possédaient des armes de destruction massive, mais aucun d’entre eux n’y recourut, dissuadé par ce qu’on appelait le MAD, pour mutal assured destruction [NdT : littéralement « destruction mutuelle assurée », usuellement « équilibre de la terreur » ; d’autre part le mot anglais mad signifie « fou »]. Des considérations similaires ont sans doute permis de prévenir leur usage dans l’affrontement opposant l’Inde au Pakistan.
Voici pourquoi, selon un homme très largement considéré comme le meilleur spécialiste de l’Islam que compte la planète aujourd’hui, Bernard Lewis, écrivant pour le Wall Street Journal. Traduction intégrale
texte original : http://www.opinionjournal.com/extra/?id=110008768