We all live in a ‘Green Line’ submarine
Au temps des pharaons, lorsqu’une dynastie régnante voulait stigmatiser le souvenir d’un prince ou d’un personnage célèbre, on martelait, sur la totalité des stèles et des monuments, les inscriptions qui lui étaient consacrées. Ainsi, en oblitérant son nom, c’est son souvenir même que l’on effaçait de la mémoire collective.
C’est à peu près ce que tentent de réaliser aujourd’hui les ennemis d’Israël. N’étant pas parvenus à faire disparaître ce peuple de la surface de la terre, ils s’en prennent à tout ce qui est susceptible d’accréditer ses titres d’appartenance à la région d’où il est issu. Mais comment effacer les noms honnis : Israël, Jérusalem, Judée, Samarie, et même celui de Jourdain ? [1] Ils peuplent la Bible, les documents historiques, les livres d’histoire et d’archéologie, les cours de religion chrétienne, les œuvres d’art même…
Israël victime d’un négationnisme terminologique
Menahem Macina | Times of Israel en français
Article mis en ligne le 6 septembre 2016