Lorsqu’une sommité morale et religieuse comme le Pape refuse de nommer les choses, disant que l’Islam n’a rien à voir avec la violence, le monde est au plus mal. Cette forme de déni est terrible, car elle occulte le génocide actuel des chrétiens d’Orient, massacrés par les fous d’Allah.
“Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique”, a-t-il dit au micro au retour des JMJ. Il semble que le Pape met au même niveau les crucifixions barbares, les membres coupés, les jeunes filles violées et égorgées, les homosexuels jetés vivants du haut des immeubles, aujourd’hui un prêtre décapité et immolé sur l’autel, et … “la violence catholique”…
La folie du déni
Pasteur Gérald Fruhinsholz
Article mis en ligne le 3 août 2016