Etablir une base de données, ce qui revient en fait à créer une liste noire, sera d’une aide précieuse aux groupes BDS cherchant à influencer les institutions financières et les grands investisseurs, tels que les universités privées, de cesser leurs investissements des communautés juives dans les dites zones. La base de données comprendra un large éventail d’entreprises, y compris dans les domaines de la construction, la sécurité, les banques et les services publics, israéliens et internationaux.
Israël, les Etats-Unis et le Royaume-Uni se sont battus contre la mise à disposition de cette base de données. Israël a accusé l’ONU, en particulier l’UNHRC, de consacrer son temps à l’émission de nombreuses résolutions contre Israël, tout en ignorant les violations des droits de l’homme partout ailleurs.