Avec leur culot habituel, responsables et media officiels palestiniens, qui vivent des subsides qui leur sont versés principalement par Europe et États-Unis, les accusent d’être responsables des attentats terroristes pour avoir « exporté le terrorisme...en Palestine, en Afghanistan », mais aussi en Syrie, Irak, Yémen, Libye, Égypte, Tunisie et Jordanie. Les dirigeants palestiniens savent d’expérience qu’ils peuvent tout se permettre sans que le flot de millions qui leur est versé en soit affecté...
Relevées par Palestinian Media Watch, les affirmations postées par Adnan Al-Damiri, porte-parole des forces de sécurité palestiniennes, sur sa page Facebook le 22 mars 2016, au lendemain des attentats de Bruxelles, sont claires...S’il condamne pour la forme tout acte terroriste en préambule, il enchaîne aussitôt sur un thème victimaire connu, affirmant que ce sont « les Arabes qui ont été le plus grièvement brûlés par le feu du terrorisme qui a été créé et exporté par les États-Unis et l’Europe depuis les combattants du Jihad arabe en Afghanistan et auparavant en exportant le terrorisme juif en Palestine, le soutenant et le justifiant.
Aujourd’hui l’Europe est brûlée par son propre feu dans ses aéroports et ses squares. Je ne me réjouis pas et ressens de la douleur pour chaque âme innocente tuée, mais ceux qui préparent un poison en prendront eux-mêmes et aujourd’hui l’Europe goûte ce qu’elle a préparé de ses propres mains. À moins de combattre le terrorisme partout, et en tout premier lieu en Palestine, car l’occupation – israélienne – est la forme la plus odieuse de terrorisme, et aussi en Syrie, Irak, Yémen, Libye, Égypte, Tunisie et Jordanie, vous serez brûlé par son feu et le terrorisme n’a pas de religion. »
Même « analyse » dans le quotidien officiel de l’Autorité palestinienne, Al-Hayat Al-Jadida, le 23 mars 2016, cette fois avec un dessin humoristique montrant l’Occident qui se fait exploser en tentant de détruire le Moyen-Orient – signe sur la pancarte-