Du passage d’Alain Finkielkraut à « On n’est pas couché », je retiendrai sept choses simples, mais décisives :
1. Une supériorité intellectuelle évidente et un vrai travail de la pensée en imposent, même et surtout à ceux qui sont englués dans une bienpensance qui certes flatte leur narcissisme, mais dont ils peinent à se sortir, comme la mouche dans une bouteille de Wittgenstein. Ce fut le cas, face à un Alain Finkielkraut narquois, d’un politologue au crâne lisse et aux idées courtes, un certain Thomas Guénolé, auteur d’un livre : Les jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? Après avoir écouté patiemment son réquisitoire, Alain Finkielkraut n’en fit qu’une bouchée.