Et de deux, la semaine dernière nous avions publié que le directeur Egypte pour la fondation Clinton, avant qu’il ne se fasse arrêter, était un haut dignitaire des frères musulmans, aujourd’hui il faut bien trouver des fonds ailleurs alors on se tourne vers les soutiens du Hezbollah.
La Fondation Clinton reçoit des dons de Issam Fares, un homme politique et milliardaire libanais ennemi d’Israël, et soutien du Hezbollah.
Dans le cas de Hillary Clinton, l’adage selon lequel le passé est un prologue est à la fois un truisme et un avertissement de choses qui pourront se réaliser à l’avenir.