Troisième lettre de Tel Aviv
Daniel Sibony
Article mis en ligne le 20 juillet 2014
Avant de prendre l’avion de cinq heures pour Paris, je jouis d’une belle matinée sur la plage et d’une intense sérénité dans la ville et le lieu où j’habite. Lumière, calme, chaleur, - pas si forte quand on est à l’ombre car il y a la brise marine. De temps à autre, une alerte, les gens vont aux abris, l’air sérieux, et en sortent deux ou trois minutes après pour reprendre leur vie normale. Les deux choses sont bien clivées.