De Munich à Damas : l’abdication de l’Occident
Freddy Eytan | Le Cape
Article mis en ligne le 8 septembre 2013
En Octobre 2001, le Premier ministre Ariel Sharon mettait en garde le monde libre en déclarant dans un discours flamboyant : « Ne refaites pas la grave erreur historique de 1938 en sacrifiant la Tchécoslovaquie ! L’Etat juif se défendra par ses propres moyens ». En septembre 2009, Benjamin Netanyahou prononce un discours à l’ONU et compare l’indifférence du monde libre devant la menace du projet nucléaire iranien à celle de l’indifférence de la Société des Nations devant la montée du nazisme et l’Holocauste des Juifs.