Israël ne doit pas son statut de « nation start-up » à l’Union européenne
Emmanuel Navon
Article mis en ligne le 14 août 2013
dernière modification le 15 août 2013
Le gouvernement israélien va devoir prendre une décision délicate dans les jours à venir. Israël doit-il se joindre au programme européen « Horizon 2020 » et accepter ainsi publiquement la décision de l’Union européenne considérant la présence israélienne au-delà des lignes d’armistice de 1949 comme illégale ? Ou alors le gouvernement doit-il refuser les exigences européennes et renoncer aux bénéfices financiers et scientifiques de « Horizon 2020 » ?