Alors que de nombreuses estimations viennent sérieusement contredire les chiffres officiels annoncés par le ministère gazaoui de la Santé de 1.315 morts et 5.300 blessés (selon un médecin de l’hôpital Shifa « le nombre de victimes oscille entre 500 et 600, pour la majorité des jeunes entre 17 et 23 ans engagés par le Hamas pour aller à l’abattoir »,

et des observateurs ont affirmé que seuls quelques lits d’hôpital sont encore occupés dans tous les centres hospitaliers de la bande de Gaza) - des témoignages de Palestiniens ont été publiés dans la presse étrangère qui viennent confirmer l’attitude de l’organisation islamiste avec les civils de Gaza.

Plusieurs d’entre eux qui affirment « nous étions les boucliers vivants des activistes du Hamas », racontent notamment comment les terroristes se sont emparés de leurs maisons, les ont parfois minées, refusant catégoriquement la demande des familles de ne pas tirer à partir de chez eux. Les islamistes armés menaçaient tous ceux qui essayaient de les éloigner, leur promettant que tous les « collaborateurs avec Israël ou le Fatah seraient punis par les combattants de la guerre sainte ».

D’autres témoignages ont confirmé que sur les toits de nombreux hauts bâtiments bombardés par Tsahal se trouvaient des lance-roquettes, et que les terroristes ont effectivement tiré à proximité d’écoles et de bâtiments de l’ONU.