L’Elysée a qualifié le discours du président iranien Ahmadinejad, prononcé lors de la conférence onusienne à Genève, Durban II, d’« appel intolérable à la haine raciste », considérant qu’« il bafoue les idéaux et les valeurs inscrites dans la déclaration universelle des droits de l’Homme ».
Le communiqué souligne que « le président de la République condamne totalement ce discours de haine. Il appelle à une réaction d’une extrême fermeté de l’Union européenne. » De son côté, le Quai d’Orsay, parle de « termes inacceptables » et affirme que "face à des attitudes comme celle que vient d’adopter le président iranien, aucun compromis n’est possible.