Le procès s’ouvre lundi en France, mais sans l’unique accusé, Hassan Diab
Quarante-trois ans après l’attentat à la bombe contre la synagogue de la rue Copernic à Paris, qui a fait quatre morts et des dizaines de blessés en octobre 1980, le procès s’ouvre lundi en France.
Sauf grande surprise l’universitaire libano-canadien Hassan Diab, 69 ans, ne devrait pas se présenter à l’ouverture des débats devant la cour d’assises spéciale de Paris, compétente en matière de terrorisme, qui devrait donc le juger par défaut. Hassan Diab a signifié ce choix au président de la cour lors d’un interrogatoire préalable et « il n’a aucune raison de changer de position », déclare à l’AFP l’un de ses avocats, Me William Bourdon, chargé de le représenter à l’audience.
43 ans après l’attentat de la rue Copernic, le procès s’ouvre à Paris
Article mis en ligne le 1er avril 2023