Traduttore, traditore*
Bernadette Capdevielle | Selection primo
Article mis en ligne le 1er décembre 2007
dernière modification le 2 décembre 2007
En 2004, dans un article au titre imprudent, Pour un traducteur, il n’est de bon auteur que mort, Sophie Képès contait tourments et dangers auxquels est exposée sa profession :« J’ai passé deux ans de ma vie au service (aux sévices ?) d’un auteur hongrois si contemporain qu’il en est vivant : Péter Esterházy.