Rachel Catherine Ksas. Sur les traces du carnage du 7 octobre
Tous les mots sont vains, futiles, inutiles et pourtant je veux témoigner de ce que j’ai vu et ressenti, exprimer l’admiration pour ce peuple incroyable…
Dans tous les endroits que nous avons visités, plus de 1300 personnes sont mortes, 20000 blessés, plus ceux qui sont traumatisés à vie d’avoir échappé à cette horreur, et puis l’enlèvement des otages, qui nous empêche tous ici de dormir convenablement …
Je ne connais personne qui dort comme avant le 7 octobre, tous impactés par cette tragédie que le monde refuse de voir, de croire.
Article mis en ligne le 9 avril 2024