Une fois encore, onvoit bien comment une idologie dltre et perverse sĠinsinue pour faire ensorte que lĠassassin soit davantage plaint que ses victimes supplicies.
Autant le dbat surla peine de mort tait-il comprhensible, autant les commentaires polmiques etoiseux sur lĠemprisonnement du terroriste islamiste sont funestes etnausabonds.
A ce sujet, est-ilpermis dĠobserver quĠon a beaucoup insist dans lĠhexagone sur la francit duÇ franco-marocain Zacarias MOUSSAOUI È.
On aurait deffectivement, il me semble, souligner que cette nationalit quĠil possdenĠhonorait pas notre pays plutt que de dcrire par le menu les interventionsde notre administration auprs du Ministre de la Justice amricaine.
Surtout, on auraitapprci que la francit des trois victimes franaises du dernier attentat deTel Aviv soit souligne avec une gale sollicitude –elles qui taientaussi franaises que Zacarias MOUSSAOUI– et mritaient sans doute davantagedĠintrt et de compassion concitoyenne.
Bref, on auracompris mĠentendre, quĠune fois de plus, je dplore et me dsespre que notrenation ait perdu sa volont, son courage, sa capacit dtester le dtestable, har la haine et tre radical envers les radicaux.
JĠinvoque souventcette forte sentence du Talmud de Jrusalem : Ç celui qui donne sapiti au mchant fait tort au Juste È.
Et parmi lesjustes, je range dĠvidence les 3000 supplicis du World Trade Center.
Raison pourquoi jene crains pas de clamer haut et fort ce que jĠaurais aim lire noir surblanc : Ç Je me rjouis que MOUSSAOUI, lĠhomme du fameux Ç Burntin the USA È ne soit pas excut afin quĠil puisse sa vie durant expierson crime dans les prisons dĠun pays dont il dtestait mort et par racismeses habitants innocents. È