![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
Le quotidien koweïtien « Al Seyassah » souligne dans son édition datée du dimanche 27 janvier, que « la police égyptienne a arrêté 30 Palestiniens à Bani Souif, au sud du Caire, après qu’un chauffeur de taxi ait informé les autorités qu’un passager palestinien a oublié une ceinture explosive dans sa voiture ».
Après le tir massif de roquettes par le Hamas sur les localités du Néguev occidental depuis la bande de Gaza, le 17 janvier, le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a annoncé la fermeture des terminaux entre Israël et la bande de Gaza et l’interdiction du passage de marchandises et de carburant pour plusieurs jours. Le 20 janvier, la plupart des terminaux ont été fermés : le terminal de Karni (utilisé pour le passage de marchandises), le terminal de Nahal Oz (utilisé pour le transfert de carburant) et les terminaux de Sufa et de Kerem
Shalom. Le terminal d’Erez est resté ouvert pour les cas humanitaires.
Des journalistes palestiniens ont déclaré, mercredi 23 janvier, qu’à au moins deux reprises, le Hamas avait mis en scène des « blackout » pour mettre fin aux sanctions politiques et économiques contre la bande de Gaza.
Des activistes du Hamas ont ouvert vendredi de nouvelles brèches dans la clôture frontalière entre Gaza et l’Egypte au moment où la sécurité égyptienne tentait d’y remettre de l’ordre après avoir laissé passer des centaines de milliers de Palestiniens. Un bulldozer conduit par des activistes du mouvement islamiste palestinien, qui contrôle la bande de Gaza, a opéré deux brèches distantes de quelques dizaines de mètres à Rafah, ville à cheval entre les territoires palestinien et égyptien.
Des garde-frontières égyptiens équipés de boucliers anti-émeutes ont commencé vendredi à former des barrières humaines destinées à rétablir la fermeture de la frontière avec Gaza. Mais ces opérations n’ont pas pu empêcher des centaines de Palestiniens de pénétrer en Egypte, après la destruction à l’aide d’un bulldozer d’un nouveau pan du mur-frontière.
Afin de mettre fin à l’afflux incontrôlé de Palestiniens sur son territoire, l’Egypte a entrepris de colmater les brèches ouvertes mercredi plus tôt dans le « mur » de métal et de béton qui la sépare de la bande de Gaza au niveau de la localité de Rafah. Des dizaines de milliers de Gazaouis ont profité mercredi et jeudi de ces « trouées » pratiquées à coup d’explosif par des activistes du Hamas pour aller faire des provisions de produits de toute nature faisant défaut dans le territoire palestinien soumis à un blocus renforcé d’Israël depuis une semaine.
L’aventure palestinienne à El-Arish est bientôt terminée. Des centaines de policiers égyptiens empêchent les Palestiniens de la bande de Gaza de pénétrer dans la péninsule du Sinaï. La chaîne de policiers permet aux Palestiniens de rentrer dans la bande de Gaza. Les autorités égyptiennes ont annoncé que la frontière serait fermée à 15 heures
Un garde frontière israélien a été tué, et une policière grièvement atteinte par balles, dans une première attaque palestinienne au nord de la capitale. Deux autres israéliens ont légèrement été blessés par des terroristes dans un deuxième attentat à Kfrar Etsion.
Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur l’affaire du blocus de Gaza et son impact sur l’opinion publique. L’exploitation médiatique que le Hamas a entreprise suite à la décision prise par Israël le 17 janvier dernier de fermer les points de passage reliant Gaza au territoire israélien porte déjà ses fruits.
Mercredi 23 janvier, les dirigeants du Hamas ont appelé à une réunion « urgente et sans délai » avec l’Egypte et l’Autorité palestinienne pour mettre au point un nouvel accord sur le partage de la frontière de Rafiah. L’appel du Hamas faisait suite au passage en force de milliers de Palestiniens : après avoir fait exploser le mur d’enceinte du terminal, ils s’étaient engouffrés librement en Egypte, fuyant le blocus de la bande de Gaza.
Jeudi soir vers 22 heures, deux attentats ont eu lieu parallèlement à Jérusalem et à Kfar Etsion.Tsahal et la police vérifient actuellement s’il y a un rapport entre les deux attaques, bien que le commandant de la police estime que ce soit un simple hasard. C’est pourtant dans le sud du pays que l’armée est en état d’alerte à cause de l’infiltration en Egypte de centaines de milliers de Palestiniens de la bande de Gaza, dont très certainement de nombreux terroristes de diverses organisations terroristes. L’armée craint que les terroristes tentent de s’infiltrer en Israël.
Comme l’on pouvait s’y attendre, Avigdor Lieberman et son parti « Israel Beiteinou » ont quitté la coalition. Pressé depuis fort longtemps par le Likoud, et soucieux de préserver son électorat russophone majoritairement à droite, Lieberman avait annoncé que l’entrée en matière par le gouvernement israélien sur les sujets aussi sensibles que les frontières définitives, la question des réfugiés ou celle de Jérusalem, signifierait la fin de sa collaboration avec le gouvernement Olmert.
Le leader druze libanais Walid Joumblatt s’est inquiété jeudi de possibles préparatifs du chef du Hezbollah chiite Hassan Nasrallah pour une nouvelle guerre contre Israël, dans une interview à la chaîne arabe satellitaire Al-Arabiya. « Préparez-vous une nouvelle guerre ? Quand vous parlez de morceaux de corps, cela veut-il dire qu’une nouvelle guerre arrive ? », s’est interrogé le membre de la majorité parlementaire antisyrienne à l’adresse du chef du mouvement islamiste, qui mène l’opposition libanaise soutenue par Damas et Téhéran.
Alors que 700000 Gazaouis ont franchi la frontière égyptienne en deux jours, l’Etat hébreu maintient le blocus du territoire tant que les tirs de roquettes se poursuivent. Selon les dernières évaluations, plus de 700000 personnes (soit la moitié de la population de Gaza) ont profité en deux jours de la disparition du mur séparant les parties palestinienne et égyptienne de la ville de Rafah pour franchir le « couloir Philadelphie » (l’ancien no man’s land) afin de se réapprovisionner en Egypte.
Les forces de sécurité israéliennes et Tsahal ont récemment démantelé un réseau terroriste et ont tué plusieurs terroristes en Judée-Samarie. Dans la région de Bethléem, une cellule du Jihad Islamique Palestinien, dont les membres prévoyaient de poser une charge explosive sur la voie de chemin de fer entre Tel- Aviv et Jérusalem, a été démantelée. Les services de sécurité palestiniens, qui s’efforcent de faire appliquer l’ordre public, ne font rien pour lutter contre les réseaux terroristes, qui continuent de représenter une menace pour la sécurité d’Israël.
Entre le jeudi 16 septembre 1982 et le samedi 18 septembre 1982, des membres des Phalanges chrétiennes libanaises massacrèrent des Palestiniens et des Libanais musulmans dans les quartiers de Sabra et Chatila, à Beyrouth. Les Phalangistes entendaient se venger ainsi de l’assassinat de leur chef, Bachir Gemayel, qui venait d’être élu président du Liban.
Ce 16 janvier 2008, Avigdor Lieberman a démissionné de ses fonctions de Ministre des Affaires Stratégiques, entraînant la défection des 11 députés de son parti « Yisraël Beitenou ». La raison avancée est le refus de cautionner les négociations israélo-palestiniennes de paix sur les questions sensibles comme le statut de Jérusalem, les implantations en Cisjordanie (improprement qualifiées de colonies) et la question « dite » du « Droit au retour des réfugiés Palestiniens ».
Le gouvernement conservateur a annoncé mercredi que le Canada ne participera pas à une conférence des Nations unies contre le racisme qui devait avoir lieu en Afrique du Sud l’an prochain. Le secrétaire d’Etat au Multiculturalisme et à l’Identité canadienne, Jason Kenney, a déclaré que la conférence dite de Durban II a « complètement déraillé » et que le Canada ne veut pas en faire partie. Le Canada est intéressé à combattre le racisme, pas à le promouvoir, a-t-il dit à La Presse Canadienne.
Depuis la création de l’Etat d’Israël, les populations arabes palestiniennes ont toujours été méthodiquement et cyniquement utilisées par leurs « frères » arabes, comme fer de lance contre Israël. En comparaison avec l’accueil et le relogement en Israël (ou ailleurs) des Juifs issus de pays arabes, la constitution de « camps de réfugiés » sur le sol même des Etats arabes entourant Israël, montre à quel point la solidarité arabe n’existe que dans les mots.
Les arabes de Gaza ont détruit la barrière qui sépare ce territoire d’un autre pays frère l’Egypte. Ils sont nombreux a s’être précipités vers Rafa, la ville Egyptienne la plus proche. Avant la guerre « des six jours » de 1967, ce territoire était sous administration Egyptienne.
0 | ... | 66080 | 66100 | 66120 | 66140 | 66160 | 66180 | 66200 | 66220 | 66240 | ... | 72920
Ynetnews
Breaking News
Jerusalem
Post Breaking News
DEBKA News Updates
Israël
Actualités
Breaking News du
Monde Juif.info
Le
fil info de Tmes of Israël.fr
Les
dernières infos de Times of Israël.fr
Le
fil de l'info de Koide9enisrael
Les
dernières infos de
de Telavivre
Les dernières infos de de jForum.fr
Le blog de danilette
Les brèves : Le Petit Hebdo
Les News de Israël Flash
Les articles de JSS News
à la Une | Europe Israel
Les actualités de Alliance.fr
Fil info i24news
MEMRI Observatoire
du Moyen-Orient
Actualité Juive
Visiteurs connectés : 154