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Cela revient par flambées périodiques. Des sortes de spasmes d’anti-israélisme primaire, qui saisissent aussi bien les médias que les instances onusiennes. La dernière en date découle du blocus décrété par Israël à l’égard de Gaza, blocus relatif d’ailleurs puisqu’il est loin d’être étanche, Dieu merci. Il n’en faut pas plus pour qu’un agitateur onusien, apparemment en mal de visibilité, vienne parler de « crimes de guerre » commis par Israël, bien entendu sans qualifier de la même façon l’envoi de roquettes palestiniennes, tous les jours, sur des femmes et des enfants.

La Russie a achevé sa cinquième et dernière livraison d’uranium à la première centrale nucléaire iranienne, a rapporté l’agence Interfax, lundi 28 janvier. Interfax, qui cite Irina Iesipova, une porte-parole de la société d’Etat russe Atomstroïexport chargée de la construction de la centrale de Bushehr, précise que sa dernière expédition de combustible a été livrée.

L’Egypte a invité des représentants du Hamas au Caire à des pourparlers sur les moyens de contrôler la frontière entre la bande de Gaza et le Sinaï. Des responsables du Hamas ont précisé que la rencontre aurait lieu plus tard dans la semaine et ont fait part de leur satisfaction face au fait que les Egyptiens coordonnent leurs mouvements avec l’organisation.

Le Premier ministre israélien a promis dimanche au président de l’Autorité palestinienne qu’Israël ne provoquerait pas par son blocus, une « crise humanitaire » à Gaza. Lors de leur rencontre qui s’est tenue dimanche après midi durant près de deux heures à Jérusalem, les deux dirigeants ont principalement évoqué la situation à la frontière entre la bande de Gaza et l’Egypte, ouverte de force par le Hamas dans la région de Rafiah.

L’Egypte reste jusqu’à présent incapable à reprendre le contrôle de sa frontière avec la bande de Gaza, explorant toutes les pistes pour sortir de ce casse-tête. Au cinquième jour de l’afflux sans entraves de Palestiniens, Le Caire commence à organiser la pénurie des marchandises, mais semble surtout miser sur un retour négocié de l’Autorité Palestinienne à la frontière. Le chef de la diplomatie égyptienne, Ahmed Aboul Gheit, a affirmé dimanche que l’Egypte entendait prendre « par tous les moyens appropriés » le contrôle de sa frontière « dès que possible », mais sans dire quand, ni comment.

Une grande première : le Conseil de Sécurité des l’ONU adopterait enfin une attitude plus équilibrée envers Israël ! Tandis que les Egyptiens tentent en vain de refermer la frontière entre eux et la Bande de Gaza alors que le Hamas continue à démolir celle-ci en divers endroits, le Conseil de Sécurité de l’ONU est sur le point de voter un texte mentionnant et condamnant les tirs de roquette - plus de 4200 à ce jour- et autres agressions contre les civils israéliens (niées évidemment par l’extrême gauche). Effaçant en quelque sorte la résolution du pseudo Conseil des Droits de l’Homme proposée et votée par des pays tels que Syrie, Libye, Iran ou Cuba.

Le Premier ministre, Ehoud Olmert, a rencontré dimanche dans sa résidence à Jérusalem le chef de l’AP, Mahmoud Abbas (Abou Mazen). Les conversations ont porté sur la situation dans la bande de Gaza.

Ce dimanche 27 janvier, le monde entier marque la journée internationale de la Shoah. Une date choisie par les Nations Unies, et votée en novembre 2005, pour que le monde n’oublie jamais la tragédie qui conduisit à l’élimination de 6 millions de juifs. Vendredi 25 janvier, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, a appelé l’ensemble de la communauté internationale à rester vigilant afin que jamais tel acte ne se reproduise.

Un garde de la police des frontières a été légèrement blessé dans une attaque à l’arme blanche commise par un Palestinien samedi 26 janvier à la périphérie de Jérusalem. L’attaque, qui a eu lieu dans la zone industrielle d’Atarot au nord de la capitale, était la troisième dans la région de Jérusalem en l’espace de 48 heures.

L’université d’Oxford en Angleterre a été ce week-end le cadre d’un débat singulier autant que symptomatique : « Israël a-t-il le droit d’exister ? » Lors de ce débat organisé par l’Union des Etudiants de l’Université, deux universitaires de renom représentaient chacun - pour les besoins du débat - un avis opposé : Norman Finkelstein ancien professeur à Paul University de Chicago, et connu pour ses positions antisionistes voire antisémites (il est l’auteur de « Shoa Business »), et Ted Honderich, professeur de Philosophie à University College de Londres.

Le 23 janvier au matin, des fonctionnaires israéliens étaient encore en colère contre l’Egypte, après que les postes d’observation et les drones aient commencé de relayer des images surréalistes de gens affluer vers le Sinaï. Ces officiels voyaient cela comme une nouvelle claque égyptienne au visage.

Des groupes extrémistes et terroristes reconnus comme tels lancent continuellement des roquettes et des obus de mortier sur des populations civiles, et ce depuis des lieux occupés par des civils dont ils se servent comme de boucliers humains. Et lorsque les soldats israéliens éliminent enfin quelques-uns de ces assassins, des pays où les droits de l’homme sont au mieux des rêves lointains (Syrie, Arabie Saoudite, Pakistan) obtiennent que l’un des organes les mieux médiatisés de la planète à ce titre condamne... Israël.

A quelques heures de la rencontre entre Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien, Guysen.International.News nous apprenait que l’Autorité (sic) palestinienne avait décrété trois jours de deuil pour la mort de Georges Habache, fondateur du FPLP (Front pour la libération de la Palestine) et que le président de l’AP Mahmoud Abbas dresserait, à cette occasion une tente funéraire à la Mouqataa de Ramallah et recevrait les visiteurs en soirée.

Les Israéliens Jonathan Erlich et Andy Ram entrent dans l’histoire en remportant le double de l’Open d’Australie face aux Français. Il n’aura suffit que de 2 sets aux Israéliens Jonathan Erlich et Andy Ram pour battre le double Français composé par Arnaud Clément et Michaël Llodra (7/5 7/6).

Le 1er décembre 2007, deux douzaines de policiers lourdement armés ont monté un raid sur un Centre communautaire juif à Caracas, où plusieurs centaines de personnes célébraient un mariage. La police, équivalent vénézuélien du FBI*, déclara être à la recherche d’armes et de preuve « d’activité subversive ».

Il est indéniable qu’aussi bien le Hamas de Ismail Hanyeh que le Fatah de Mahmoud Abbas reprennent le scénario habituel de feu Arafat. Plus Israël s’enfonce dans des négociations, plus ils soufflent sur le feu de la violence.

L’armée égyptienne s’est retirée dans la nuit de vendredi à samedi de la frontière avec la bande de Gaza et des milliers de palestiniens se sont précipités en Egypte pour se ravitailler. Les militaires égyptiens auraient reçu l’ordre de laisser la frontière ouverte pendant trois jours. Vendredi, le face à face entre garde-frontières et Gazaouis était très tendu.

Les événements récents survenus à la « frontière » entre l’Egypte et la Bande de Gaza ont eu le mérite de mettre l’accent sur la responsabilité de l’Egypte dans la situation actuelle dans ce territoire.

Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a estimé que l’Iran était « plutôt bien avancé » dans la mise au point d’armes atomiques et pouvait déjà être en train de travailler sur des ogives nucléaires, dans un entretien publié samedi dans la presse américaine.

«  On doit aider Mahmoud Abbas à établir un gouvernement solide en Cisjordanie  », souligne le responsable travailliste israélien. En visite à Paris, le ministre israélien de la Défense Ehoud Barak appelle l’Égypte à contrôler la sécurité à la frontière avec la bande de Gaza. Et il ne ferme pas la porte au déploiement d’une force internationale en Cisjordanie. Entretien.