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Qu’il s’agisse de la presse israélienne ou de la population, le soutien dont bénéficie l’opération militaire lancée contre la bande de Gaza est presque unanime en Israël. Ehud Barak, ministre de la défense mais aussi dirigeant du parti travailliste, voit par contrecoup sa popularité grimper à quelques semaines des législatives. En Israël, la presse est quasi-unanime depuis des jours pour justifier l’offensive contre la bande de Gaza au nom du « droit à l’autodéfense », bien que des voix se soient élevées par avance contre la phase 2 qui a débuté au soir du samedi 3 janvier : les opérations terrestres.
Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a déclaré samedi qu’Israël est « prêt à toute éventualité à sa frontière nord avec le Liban ». Le message est un avertissement adressé au Hezbollah, qui soutient le Hamas. Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a affirmé samedi soir qu’Israël était prêt à toute éventualité à sa frontière nord avec le Liban, dans un avertissement voilé au Hezbollah.
La France « condamne l’offensive terrestre israélienne contre Gaza » et estime que « cette escalade militaire dangereuse complique les efforts engagés par la communauté internationale » pour obtenir un cessez-le-feu, a déclaré le ministère des Affaires étrangères.
Des sources de DEBKA à Washington rapportent que lors d’une conversation téléphonique avec le Premier ministre Ehud Olmert, le président américain George W. Bush a approuvé les opérations aériennes et par mer israéliennes et les opérations sur le terrain contre le Hamas dans la bande de Gaza. Il a promis le veto des États-Unis contre une résolution condamnant Israël au Conseil de sécurité des Nations unies qui se réunit lundi prochain. Tôt samedi matin, le 3 janvier le 8e Jour de la campagne de la bande de Gaza, les États-Unis et médias britanniques décrivent une invasion israélienne pour dans quelques heures.
Khaled Mechaal et Hassan Nasrallah sont confiants quant à la victoire du Hamas et de l’esprit de résistance inspirée des disciples de Hussein Au moment où la télévision « Al Arabiya » diffusait, cette nuit, les déclarations de Khaled Mechaal qui rassurait les Palestiniens sur leur « Résistance », et qui promettait des surprises aux Israéliens s’ils s’aventuraient à entrer dans Gaza, la télévision passait en boucle une dépêche sur l’imminence d’une invasion terrestre de la Bande de Gaza.
La France et la Turquie continuent à s’activer pour désamorcer la crise israélo-palestinienne. L’administration américaine est sortie hier soir de deux semaines de mutisme sur le dossier israélo-palestinien. À deux semaines de la fin de son mandat, le président George W. Bush a exhorté tous ceux qui le peuvent à faire pression sur le Hamas pour que l’organisation cesse ses tirs sur Israël et permette un cessez-le-feu qui « signifie quelque chose ».
Plus d’une semaine après le début de l’opération « Plomb durci », aucun journaliste n’a pu entrer dans la bande de Gaza. Ce territoire était interdit aux journalistes israéliens depuis plus d’un an pour « des raisons de sécurité ». Désormais, c’est la presse étrangère basée en Israël qui est dans l’impossibilité de couvrir ce qui se passe dans la bande de Gaza.
Rien n’a filtré de la réunion organisée hier entre Ehoud Olmert, le ministre de la Défense Ehoud Barak et sa collègue des Affaires étrangères Tzipi Livni. Israël, sûr de sa force, jauge la résistance et les nerfs du Hamas. L’offensive serait imminente... C’est en effet dans une pièce sécurisée de la « Kyria », le siège de l’état-major de l’armée que les trois « super-ministres » ont décidé de la suite de l’opération « Plomb durci ». À tort ou à raison, la plupart des commentateurs parient sur la poursuite de l’opération par une incursion terrestre dans la bande de Gaza. À leurs yeux, le fait que quatre cents étrangers résidant dans ce territoire ont été autorisés par Israël à l’évacuer hier matin constitue un signe annonciateur supplémentaire.
Officier de réserve et porte-parole de l’armée israélienne, Edouard Cukierman a dû écourter ses vacances de fin d’année en Valais à cause du conflit à Gaza. Il nous a livré avant de repartir sa vision de l’affrontement en cours.
Rien ne va plus... au Proche-Orient ! À quelques jours de l’inauguration de la nouvelle administration américaine, les principaux acteurs arabes semblaient dans l’attente d’un signe en provenance de Washington pour ajuster leur « tir » en adoptant des nouvelles mesures plus souples, ou plus dures ! Or, voilà que le camp des durs semble avoir pris de l’avance sur le camp de la paix en créant une crise sans précédent dans la Bande de Gaza.
La République tchèque a donc succédé à la France, jeudi, à la tête du Conseil de l’Union européenne. La tâche ne s’annonce pas simple pour le gouvernement dirigé par Mirek Topolanek. Celui-ci prend en effet les commandes des Vingt-sept dans un contexte international tendu avec le conflit israélo-palestinien, la crise du gaz entre la Russie et l’Ukraine ou encore la crise financière.
Le chef de la diplomatie tchèque, Karel Schwarzenberg, pilotera une mission de l’Union européenne qui partira dimanche de Prague en tournée au Proche-Orient jusqu’à mardi pour discuter d’un cessez-le-feu à Gaza, a annoncé un communiqué officiel publié vendredi à Prague.
Le Hezbollah libanais, bête noire d’Israël à l’instar du Hamas, s’est investi jusqu’à présent dans un soutien moral à la bande de Gaza mais ne devrait pas voler à son secours ni ouvrir un front à la frontière avec l’Etat hébreu, estiment des analystes. Plus de deux ans après le conflit dévastateur entre le « parti de Dieu » et l’Etat hébreu, « le Hezbollah n’est pas dans une position lui permettant de supporter le fardeau d’une deuxième guerre », affirme Paul Salem, du Centre Carnegie pour le Moyen-Orient.
Le premier objectif de la France, qui participera à une intense activité diplomatique dans les prochains jours au Proche-Orient, est de parvenir à une trêve humanitaire à Gaza, a déclaré aujourd’hui le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Eric Chevallier.
Depuis 2001, les centres d’agglomérations au sud d’Israël ont été la cible de plus de 4000 roquettes et de milliers d’obus de mortier, lancés par le Hamas et les autres organisations terroristes palestiniennes. Les attaques à la roquette ont augmenté de plus de 500% après le retrait complet d’Israël de la bande de Gaza en août 2005. Durant la dernière trêve informelle qui a duré six mois, 215 roquettes ont été lancées vers Israël.
Nul n’étant mieux placé pour parler de lui-même, c’est le sénateur UMP Philippe Marini, qui a indiqué, mardi dernier, à l’AFP que le président Sarkozy lui avait confié une mission « d’étude, d’analyse et de contacts" sur le Proche-Orient ». C’est ce que nous indique la consultation du site Internet de ce parlementaire, par ailleurs rapporteur général de la commission des finances.
Monsieur Nicolas Sarkozy devrait prendre la mesure de tout ce qui est disproportionné dans l’embrasement de Gaza. C’est avant tout la haine des Juifs que les islamistes du Hamas vouent à Israel. C’est la haine entretenue dans l’éducation des enfants palestiniens. C’est la haine de l’existence même d’un foyer national Juif sur sa terre, alors qu’une large majorité d’israéliens se prononcent en faveur de la naissance d’un Etat Palestinien. C’est cette disproportion qui explique la guerre d’Israel contre l’intolérance du Hamas. C’est aussi, cette disproportion qui justifie d’être particulièrement attentif et vigilant à l’encontre de l’Iran et de son projet de détruire Israël.
Des membres du Fatah ont critiqué, jeudi, le leadership de l’Autorité palestinienne (AP) pour avoir échoué à prendre « une position ferme » contre l’actuelle opération militaire israélienne dans la bande de Gaza. Ziad Abou Ein, ministre adjoint de l’AP, a appelé le Hamas à rendre les armes qu’il avait confisqué aux membres du Fatah à Gaza, afin qu’ils puissent aider les islamistes à combattre les troupes israéliennes dans le cas d’une offensive terrestre. Selon Abou Ein, le Fatah dispose de près de 70 000 fidèles dans l’enclave palestinienne. Beaucoup d’entre eux seraient d’anciens membres des forces de sécurité de l’AP.
De nombreux Israéliens ont le sentiment que les murs et l’étau de l’histoire se resserrent. Une situation qu’ils ont déjà vécue début juin 1967, juste avant la guerre des Six-Jours. Les Israéliens d’aujourd’hui - disons plutôt la population juive d’Israël - commencent à ressentir beaucoup de ce que leurs parents ont éprouvé au cours de ces journées d’apocalypse. Certes, Israël aujourd’hui est plus puissant et plus prospère. En 1967, on n’y comptait que 2 millions de juifs, contre 5,5 millions maintenant, et l’armée ne disposait pas de l’arme atomique. Cela n’empêche cependant pas la majorité de nourrir pour l’avenir un pressentiment aussi sinistre que profond.
Les déclarations de Nicolas Sarkozy renvoyant Israël et le Hamas dos à dos dans la condamnation, puis dénonçant la réponse israélienne comme « disproportionnée » ont quelque chose de profondément indécent. D’autant qu’elles s’aggravent par la désignation du sénateur Philippe Marini comme responsable d’une « mission » sur le Proche Orient.
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