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Galei Tsahal, la radio de l’armée, a publié dimanche matin une information qui laisse perplexe et révèle la politique ambiguë de la France au Proche-Orient. En effet, alors que Paris condamnait officiellement l’attitude d’Israël, lorsque la seconde guerre du Liban a éclaté, et dénonçait fermement ses attaques contre le Hezbollah, les autorités françaises auraient œuvré secrètement contre Damas.
La présidence allemande de l’Union européenne s’est déclarée samedi « prête à coopérer avec un gouvernement palestinien légitime qui adopterait une plate-forme reflétant les principes du Quartet », après la cérémonie de prestation de serment au Parlement du gouvernement palestinien d’union.
CENSURE ou excès de zèle ? Mercredi soir, Matthias Küntzel devait donner une conférence sur l’antisémitisme islamique à l’université de Leeds, au nord de l’Angleterre. Mais le professeur allemand n’a pas pu dire un mot. « Pour des raisons de sécurité », la direction de l’établissement a décidé d’annuler son exposé. Habitué à s’exprimer partout dans le monde, le chercheur de l’université hébraïque de Jérusalem n’a pas caché sa colère : « Rien de tel ne m’est jamais arrivé, c’est de la censure. »
La plateforme du nouveau gouvernement palestinien d’unité nationale n’intègre pas les trois conditions requises par la communauté internationale - reconnaissance d’Israël, arrêt de la violence et respect des accords passés -, principes réaffirmés par le Quatuor (ONU, UE, USA et Russie) et également par le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, dans son communiqué saluant la formation de ce nouveau gouvernement.
La secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice a annoncé mercredi qu’elle se rendrait la semaine prochaine au Proche-Orient et a évoqué en termes favorables le plan de paix saoudien, en dépit du scepticisme des experts sur ses chances de réussite.
Dans son dernier essai, « Le monde moderne et la question juive », le sociologue se livre à une attaque haineuse contre les Juifs et Israël. Dans les médias, silence radio.
Curieusement, la sortie du dernier essai d’Edgar Morin, « Le monde moderne et la question juive » (Seuil) a été pour ainsi dire passée sous silence par une critique d’habitude prompte à tresser au sociologue des couronnes de lauriers. On aurait pourtant pu s’attendre à ce que l’ouvrage éveille un certain intérêt ne serait-ce qu’en raison du retentissement qu’avait suscité la condamnation en juillet 2005 d’E. Morin pour une méchante tribune aux relents antisémites parue dans Le Monde en 2002. Intitulé « Israël-Palestine : le cancer », ce texte accusait « les Juifs » des pires turpitudes à l’encontre des Palestiniens.
Décidément les organisations internationales se montrent impitoyables à l’égard d’Israël. Certes, Israël a raison, mais quand même il faut lui donner tort.
« Renan disait que deux choses constituent l’âme d’une nation : l’une est dans le passé, la « possession d’un riche legs de souvenir », l’autre est le consentement actuel des citoyens. On a longtemps insisté sur le second point pour se démarquer de la conception allemande, quasi raciale, de la nation. Mais ce débat entre l’électif et l’ethnique est clos et la définition de Renan demande à être pensée dans son intégralité car c’est notre lien avec les morts qui est aujourd’hui menacé et même rompu par la repentance. Qu’est-ce, en effet, que la repentance, sinon une arrogante désaffiliation ? Sous l’apparence de la contrition, le présent s’applaudit de sa supériorité morale sur un passé criminel. Le chauvinisme du contemporain remplace l’art d’hériter et de transmettre l’héritage aux nouveaux venus par une conception inédite de l’hospitalité : accueillir l’autre, c’est, désormais, le laisser être ce qu’il est. À la France, selon Renan, façonnée par l’histoire, profondément ancrée dans le temps, la candi¬date socialiste n’a pas craint d’opposer à deux reprises la France hypermoderne version Diam’s, celle qui « parle fort », qui « sèche les cours le plus souvent pour ne rien foutre », « qui vit à l’heure américaine », et qui, « le BEP mécanique ne permettant pas d’être patron », « vend de la merde à des bourges ». Bref, ce que nous dit la rappeuse dans sa langue somptueuse, c’est : « Ma France à moi, c’est moi. » Marc Bloch écrivait que la défaite de 1940 avait été rendue possible par une désintégration nationale. Il faut lire Marc Bloch et renouer le fil de l’identité française. Mais c’est un mot d’ordre exigeant, ce n’est pas un nom de ministère. »
Israël ne peut pas coopérer avec le gouvernement palestinien d’union nationale et doit continuer de négocier avec le président palestinien Mahmoud Abbas pour provoquer l’échec du mouvement islamiste Hamas, a déclaré vendredi le vice-ministre israélien de la Défense, Ephraïm Sneh.
La formation du gouvernement d’union palestinien
Tous les quotidiens : Le gouvernement d’union national palestinien a été formé. Le Parlement palestinien devrait lui accorder sa confiance demain. Les journaux publient des extraits de la plateforme politique de ce gouvernement qui ne respecte pas explicitement deux des trois conditions posées par le Quartet pour qu’il lui accorde sa légitimité : la reconnaissance d’Israël et l’arrêt du Terrorisme. Ce gouvernement accepte de reconnaître les accords déjà signés par l’Autorité Palestinienne.
Cette semaine, nous voudrions attirer l’attention de nos lecteurs sur les conditions et les conséquences de la constitution d’un gouvernement dont s’est doté l’Autorité palestinienne. Au risque de passer pour des oiseaux de mauvais augure, il est fort probable que ce nouvel essai d’ ’’Union’’ entre le Hamas et le Fatah sera voué, comme la tentative précédente, à l’échec. Il n’en reste pas moins que cette union montre le rôle désormais majeur d’organisations terroristes dans le monde politique arabo-musulman.
L’origine de « l’initiative saoudienne »
Le 17 février 2002, paraissait un éditorial dans le New York Times signé du journaliste américain Thomas Friedman. Ce dernier rapporte une discussion qu’il a eue avec le prince héritier saoudien Abdallah ibn Abdelaziz (aujourd’hui Roi depuis le décès du Roi Fahd en 2005)
Les Palestiniens revendiquent le droit au retour sur la base de la résolution 194 de l’Assemblée Générale de l’ONU, du 11/12/1948. Cette résolution comporte 15 articles. Seul l’article 11 porte sur la question des réfugiés, et il ne mentionne pas de « droit », il exprime un souhait.
JERUSALEM (AP) - Israël ne traitera pas avec le nouveau gouvernement palestinien et va exhorter la communauté internationale à ne pas travailler avec la coalition Hamas-Fatah, a annoncé jeudi le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Mark Regev.
Le nouveau gouvernement d’union palestinien est formé par douze ministres issus du Hamas, en incluant le premier ministre, ainsi que par six du Fatah, quatre indépendants, et un du Front de libération de la Palestine, un du Parti du peuple et un du mouvement Troisième Voie respectivement
Le gouvernement palestinien formé aujourd’hui
Tous les quotidiens : Abou Maazen et Ismaïl Aniyeh sont parvenus à former un gouvernement d’union national palestinien. Les différends entre les deux leaders ont été apparemment dissipés. Ceux-ci ont indiqué que l’annonce officielle de la formation de ce gouvernement interviendra aujourd’hui.
Aux amis d’Israël. En accord avec le Centre Simon Wiesenthal, je considère qu’il est injuste de refuser à l’Etat d’Israël le droit de légitime défense. Certes, la guerre au Liban, a fait de nombreuses victimes, mais les dirigeants hébergeaient les terroristes du Hezbollah.
La commission Vinograd publiera des conclusions personnelles
Tous les quotidiens : Dans un communiqué exceptionnel destiné à mettre fin aux spéculations avancées par la presse israélienne, ces derniers jours, la commission Vinograd a annoncé qu’elle publierait ses conclusions intérimaires vers la mi-avril. Ces conclusions se rapportent à la période allant de mai 2000 au déclenchement de la guerre le 12 juillet et elles incluront des conclusions personnelles à l’adresse du Premier Ministre Olmert, du ministre de la Défense Peretz, et de l’ex-chef d’état-major Haloutz. La commission ne donne pas la teneur de ces conclusions et précise que le rapport définitif qui traitera essentiellement de la période de guerre de l’été dernier, ne sera publié qu’en juillet prochain.
Les combats contre le Hezbollah se situant à mi-chemin entre le conflit de basse intensité et la guerre conventionnelle, l’armée israélienne a commencé à se préparer en conséquence. Les généraux attendent avec anxiété les conclusions de la commission d’enquête présidée par un ancien juge à la Cour suprême, Eliyahou Winograd, qui doit rendre ses conclusions d’ici à la fin du mois. Dan Haloutz, le chef d’état-major en poste lors du conflit, a déjà été contraint à la démission en janvier, le commandant de la région Nord, qui dirigeait les opérations, ayant été remplacé dès la fin du conflit.
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