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Voilà. C’est fait. Le gouvernement inter-palestinien est constitué. À sa tête, un premier ministre Hamas. Le quartet international ne demandait pas la lune. Le strict minimum syndical : reconnaissance d’Israël, arrêt du terrorisme, respect des accords déjà signés.
Les dirigeants terroristes du Hamas et du Fatah ont de bonnes raisons de jubiler ce dimanche. En dépit de leur haine mutuelle, la formation d’un cabinet palestinien d’union nationale s’avère être une manœuvre politique très habile sur le plan international et économique.
Au lendemain d’une conférence de presse donnée à Paris par Nicolas Sarkozy au cours de laquelle il exprimait sa vision de la politique extérieure française, Guysen Israël News apprenait qu’un timbre israélien à l’effigie du candidat UMP avait été créé par son comité de soutien en Israël.
Euro-pétition d’urgence aux chefs de gouvernements de l’Union européenne et aux institutions de l’Union européenne pour l’envoi immédiat d’une force de protection internationale au Darfour.
La bataille décisive contre les extrémistes islamiques ne se joue pas en Irak, mais en Europe. Ce n’est pas à Bagdad mais dans des villes comme Anvers en Belgique, que l’avenir de l’Occident se décidera. J’ai récemment rencontré Marij Uijt den Bogaard, une femme 49 ans qui mérite l’appui de l’Amérique, au moins autant que le Président irakien Jalal Talabani et le premier ministre Nouri al-Maliki.
Après avoir rejeté toute possibilité de traiter avec la nouvelle coalition Fatah-Hamas, le premier ministre d’Israël appelle aujourd’hui la communauté internationale à prendre le même engagement en maintenant son boycottage du gouvernement palestinien.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a promu dimanche son proche collaborateur Mohamed Dahlan, membre du Fatah et vieil adversaire du Hamas, au poste de conseiller à la sécurité nationale. Le décret pris par Abbas au lendemain de l’investiture du gouvernement d’union nationale formé par le Hamas, le Fatah et des personnalités palestiniennes indépendantes charge Dahlan de superviser les forces de sécurité.
Galei Tsahal, la radio de l’armée, a publié dimanche matin une information qui laisse perplexe et révèle la politique ambiguë de la France au Proche-Orient. En effet, alors que Paris condamnait officiellement l’attitude d’Israël, lorsque la seconde guerre du Liban a éclaté, et dénonçait fermement ses attaques contre le Hezbollah, les autorités françaises auraient œuvré secrètement contre Damas.
La présidence allemande de l’Union européenne s’est déclarée samedi « prête à coopérer avec un gouvernement palestinien légitime qui adopterait une plate-forme reflétant les principes du Quartet », après la cérémonie de prestation de serment au Parlement du gouvernement palestinien d’union.
CENSURE ou excès de zèle ? Mercredi soir, Matthias Küntzel devait donner une conférence sur l’antisémitisme islamique à l’université de Leeds, au nord de l’Angleterre. Mais le professeur allemand n’a pas pu dire un mot. « Pour des raisons de sécurité », la direction de l’établissement a décidé d’annuler son exposé. Habitué à s’exprimer partout dans le monde, le chercheur de l’université hébraïque de Jérusalem n’a pas caché sa colère : « Rien de tel ne m’est jamais arrivé, c’est de la censure. »
La plateforme du nouveau gouvernement palestinien d’unité nationale n’intègre pas les trois conditions requises par la communauté internationale - reconnaissance d’Israël, arrêt de la violence et respect des accords passés -, principes réaffirmés par le Quatuor (ONU, UE, USA et Russie) et également par le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, dans son communiqué saluant la formation de ce nouveau gouvernement.
La secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice a annoncé mercredi qu’elle se rendrait la semaine prochaine au Proche-Orient et a évoqué en termes favorables le plan de paix saoudien, en dépit du scepticisme des experts sur ses chances de réussite.
Dans son dernier essai, « Le monde moderne et la question juive », le sociologue se livre à une attaque haineuse contre les Juifs et Israël. Dans les médias, silence radio.
Curieusement, la sortie du dernier essai d’Edgar Morin, « Le monde moderne et la question juive » (Seuil) a été pour ainsi dire passée sous silence par une critique d’habitude prompte à tresser au sociologue des couronnes de lauriers. On aurait pourtant pu s’attendre à ce que l’ouvrage éveille un certain intérêt ne serait-ce qu’en raison du retentissement qu’avait suscité la condamnation en juillet 2005 d’E. Morin pour une méchante tribune aux relents antisémites parue dans Le Monde en 2002. Intitulé « Israël-Palestine : le cancer », ce texte accusait « les Juifs » des pires turpitudes à l’encontre des Palestiniens.
Décidément les organisations internationales se montrent impitoyables à l’égard d’Israël. Certes, Israël a raison, mais quand même il faut lui donner tort.
« Renan disait que deux choses constituent l’âme d’une nation : l’une est dans le passé, la « possession d’un riche legs de souvenir », l’autre est le consentement actuel des citoyens. On a longtemps insisté sur le second point pour se démarquer de la conception allemande, quasi raciale, de la nation. Mais ce débat entre l’électif et l’ethnique est clos et la définition de Renan demande à être pensée dans son intégralité car c’est notre lien avec les morts qui est aujourd’hui menacé et même rompu par la repentance. Qu’est-ce, en effet, que la repentance, sinon une arrogante désaffiliation ? Sous l’apparence de la contrition, le présent s’applaudit de sa supériorité morale sur un passé criminel. Le chauvinisme du contemporain remplace l’art d’hériter et de transmettre l’héritage aux nouveaux venus par une conception inédite de l’hospitalité : accueillir l’autre, c’est, désormais, le laisser être ce qu’il est. À la France, selon Renan, façonnée par l’histoire, profondément ancrée dans le temps, la candi¬date socialiste n’a pas craint d’opposer à deux reprises la France hypermoderne version Diam’s, celle qui « parle fort », qui « sèche les cours le plus souvent pour ne rien foutre », « qui vit à l’heure américaine », et qui, « le BEP mécanique ne permettant pas d’être patron », « vend de la merde à des bourges ». Bref, ce que nous dit la rappeuse dans sa langue somptueuse, c’est : « Ma France à moi, c’est moi. » Marc Bloch écrivait que la défaite de 1940 avait été rendue possible par une désintégration nationale. Il faut lire Marc Bloch et renouer le fil de l’identité française. Mais c’est un mot d’ordre exigeant, ce n’est pas un nom de ministère. »
Israël ne peut pas coopérer avec le gouvernement palestinien d’union nationale et doit continuer de négocier avec le président palestinien Mahmoud Abbas pour provoquer l’échec du mouvement islamiste Hamas, a déclaré vendredi le vice-ministre israélien de la Défense, Ephraïm Sneh.
La formation du gouvernement d’union palestinien
Tous les quotidiens : Le gouvernement d’union national palestinien a été formé. Le Parlement palestinien devrait lui accorder sa confiance demain. Les journaux publient des extraits de la plateforme politique de ce gouvernement qui ne respecte pas explicitement deux des trois conditions posées par le Quartet pour qu’il lui accorde sa légitimité : la reconnaissance d’Israël et l’arrêt du Terrorisme. Ce gouvernement accepte de reconnaître les accords déjà signés par l’Autorité Palestinienne.
Cette semaine, nous voudrions attirer l’attention de nos lecteurs sur les conditions et les conséquences de la constitution d’un gouvernement dont s’est doté l’Autorité palestinienne. Au risque de passer pour des oiseaux de mauvais augure, il est fort probable que ce nouvel essai d’ ’’Union’’ entre le Hamas et le Fatah sera voué, comme la tentative précédente, à l’échec. Il n’en reste pas moins que cette union montre le rôle désormais majeur d’organisations terroristes dans le monde politique arabo-musulman.
L’origine de « l’initiative saoudienne »
Le 17 février 2002, paraissait un éditorial dans le New York Times signé du journaliste américain Thomas Friedman. Ce dernier rapporte une discussion qu’il a eue avec le prince héritier saoudien Abdallah ibn Abdelaziz (aujourd’hui Roi depuis le décès du Roi Fahd en 2005)
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