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Rien n’a filtré de la réunion organisée hier entre Ehoud Olmert, le ministre de la Défense Ehoud Barak et sa collègue des Affaires étrangères Tzipi Livni. Israël, sûr de sa force, jauge la résistance et les nerfs du Hamas. L’offensive serait imminente... C’est en effet dans une pièce sécurisée de la « Kyria », le siège de l’état-major de l’armée que les trois « super-ministres » ont décidé de la suite de l’opération « Plomb durci ». À tort ou à raison, la plupart des commentateurs parient sur la poursuite de l’opération par une incursion terrestre dans la bande de Gaza. À leurs yeux, le fait que quatre cents étrangers résidant dans ce territoire ont été autorisés par Israël à l’évacuer hier matin constitue un signe annonciateur supplémentaire.
Officier de réserve et porte-parole de l’armée israélienne, Edouard Cukierman a dû écourter ses vacances de fin d’année en Valais à cause du conflit à Gaza. Il nous a livré avant de repartir sa vision de l’affrontement en cours.
Rien ne va plus... au Proche-Orient ! À quelques jours de l’inauguration de la nouvelle administration américaine, les principaux acteurs arabes semblaient dans l’attente d’un signe en provenance de Washington pour ajuster leur « tir » en adoptant des nouvelles mesures plus souples, ou plus dures ! Or, voilà que le camp des durs semble avoir pris de l’avance sur le camp de la paix en créant une crise sans précédent dans la Bande de Gaza.
La République tchèque a donc succédé à la France, jeudi, à la tête du Conseil de l’Union européenne. La tâche ne s’annonce pas simple pour le gouvernement dirigé par Mirek Topolanek. Celui-ci prend en effet les commandes des Vingt-sept dans un contexte international tendu avec le conflit israélo-palestinien, la crise du gaz entre la Russie et l’Ukraine ou encore la crise financière.
Le chef de la diplomatie tchèque, Karel Schwarzenberg, pilotera une mission de l’Union européenne qui partira dimanche de Prague en tournée au Proche-Orient jusqu’à mardi pour discuter d’un cessez-le-feu à Gaza, a annoncé un communiqué officiel publié vendredi à Prague.
Le Hezbollah libanais, bête noire d’Israël à l’instar du Hamas, s’est investi jusqu’à présent dans un soutien moral à la bande de Gaza mais ne devrait pas voler à son secours ni ouvrir un front à la frontière avec l’Etat hébreu, estiment des analystes. Plus de deux ans après le conflit dévastateur entre le « parti de Dieu » et l’Etat hébreu, « le Hezbollah n’est pas dans une position lui permettant de supporter le fardeau d’une deuxième guerre », affirme Paul Salem, du Centre Carnegie pour le Moyen-Orient.
Le premier objectif de la France, qui participera à une intense activité diplomatique dans les prochains jours au Proche-Orient, est de parvenir à une trêve humanitaire à Gaza, a déclaré aujourd’hui le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Eric Chevallier.
Depuis 2001, les centres d’agglomérations au sud d’Israël ont été la cible de plus de 4000 roquettes et de milliers d’obus de mortier, lancés par le Hamas et les autres organisations terroristes palestiniennes. Les attaques à la roquette ont augmenté de plus de 500% après le retrait complet d’Israël de la bande de Gaza en août 2005. Durant la dernière trêve informelle qui a duré six mois, 215 roquettes ont été lancées vers Israël.
Nul n’étant mieux placé pour parler de lui-même, c’est le sénateur UMP Philippe Marini, qui a indiqué, mardi dernier, à l’AFP que le président Sarkozy lui avait confié une mission « d’étude, d’analyse et de contacts" sur le Proche-Orient ». C’est ce que nous indique la consultation du site Internet de ce parlementaire, par ailleurs rapporteur général de la commission des finances.
Monsieur Nicolas Sarkozy devrait prendre la mesure de tout ce qui est disproportionné dans l’embrasement de Gaza. C’est avant tout la haine des Juifs que les islamistes du Hamas vouent à Israel. C’est la haine entretenue dans l’éducation des enfants palestiniens. C’est la haine de l’existence même d’un foyer national Juif sur sa terre, alors qu’une large majorité d’israéliens se prononcent en faveur de la naissance d’un Etat Palestinien. C’est cette disproportion qui explique la guerre d’Israel contre l’intolérance du Hamas. C’est aussi, cette disproportion qui justifie d’être particulièrement attentif et vigilant à l’encontre de l’Iran et de son projet de détruire Israël.
Des membres du Fatah ont critiqué, jeudi, le leadership de l’Autorité palestinienne (AP) pour avoir échoué à prendre « une position ferme » contre l’actuelle opération militaire israélienne dans la bande de Gaza. Ziad Abou Ein, ministre adjoint de l’AP, a appelé le Hamas à rendre les armes qu’il avait confisqué aux membres du Fatah à Gaza, afin qu’ils puissent aider les islamistes à combattre les troupes israéliennes dans le cas d’une offensive terrestre. Selon Abou Ein, le Fatah dispose de près de 70 000 fidèles dans l’enclave palestinienne. Beaucoup d’entre eux seraient d’anciens membres des forces de sécurité de l’AP.
De nombreux Israéliens ont le sentiment que les murs et l’étau de l’histoire se resserrent. Une situation qu’ils ont déjà vécue début juin 1967, juste avant la guerre des Six-Jours. Les Israéliens d’aujourd’hui - disons plutôt la population juive d’Israël - commencent à ressentir beaucoup de ce que leurs parents ont éprouvé au cours de ces journées d’apocalypse. Certes, Israël aujourd’hui est plus puissant et plus prospère. En 1967, on n’y comptait que 2 millions de juifs, contre 5,5 millions maintenant, et l’armée ne disposait pas de l’arme atomique. Cela n’empêche cependant pas la majorité de nourrir pour l’avenir un pressentiment aussi sinistre que profond.
Les déclarations de Nicolas Sarkozy renvoyant Israël et le Hamas dos à dos dans la condamnation, puis dénonçant la réponse israélienne comme « disproportionnée » ont quelque chose de profondément indécent. D’autant qu’elles s’aggravent par la désignation du sénateur Philippe Marini comme responsable d’une « mission » sur le Proche Orient.
Un titre qui pastiche celui de l’opinion écrite dans Le Monde de deux présidents d’honneur -Patrick Baudouin et Michel Tubiana- d’une ligue des droits de l’homme sans honneur et intitulée « La violence n’est pas une fatalité ». Une tribune qui assène des ‘’vérités’’ à couper le souffle de ceux quelque peu au fait de la logique, de la raison et des faits du conflit proche-oriental.
Je viens de lire avec émotion la lettre d’ un Israélien aux habitants de la terre . J’ adhère tristement . En même temps , je vous adresse cette introduction à des rencontres avec des groupes de maison de mon église protestante sur le thème d’ Israël . J’ y traçais en introduction mon parcours d’ habitante de la terre qui se promène avec raison jusqu’ où son coeur l’ a attirée . Oui ça vaut la peine de marcher à contresens , je ne l’ ai jamais regretté .
Les autorités israéliennes ont annoncé vendredi avoir autorisé plusieurs centaines de Palestiniens détenteurs de passeports étrangers à fuir les bombardements de la bande de Gaza, via le terminal d’Erez. Selon un porte-parole militaire, Peter Lerner, quelque 300 Palestiniens se sont présentés vendredi matin au point de passage d’Erez entre la bande de Gaza et Israël. Ces Palestiniens possèdant une double nationalité sont détenteurs de passeports des Etats-Unis, de Russie, de Turquie et du Kazakhstan notamment, a-t-il précisé.
Le département israélien de la Défense a décidé jeudi soir de boucler la Cisjordanie pour deux jours, les frappes meurtrières actuellement en cours dans la bande de Gaza ayant tendu les relations entre Juifs et Arabes. Le bouclage général, ordonné par le ministre de la Défense Ehud Barak, a été mis en place jeudi à minuit et sera levé samedi soir, selon un communiqué de l’armée. L’entrée sur le territoire israélien pour les personnes ayant besoin d’aide humanitaire ou médicale sera autorisée par un bureau spécial de liaison.
Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur l’offensive israélienne à Gaza, lancée samedi 27 décembre, après 45 jours ininterrompus de tirs de missiles du Hamas sur Israël. Six jours après les premiers raids sur les objectifs stratégiques ciblés par l’armée israélienne, l’opération est loin d’être achevée. Seul un tiers des stocks d’armes du Hamas a été détruit, et les tirs de missiles atteignent désormais chaque jour les villes d’Ashqelon, Ashdod, Beer Sheva.
Avec l’offensive de Tsahal à Gaza, voilà relancée l’idée de dialogue entre le Hamas et le Fatah. Mais la route est encore longue et les divergences sont tenaces. Pour l’heure chacun campe sur ses positions, ce qui inquiète au plus haut point les dirigeants de la Ligue arabe, réunie mercredi 31 décembre au Caire. Selon eux, l’unité d’une position arabe passe par une réconciliation entre Hamas et Fatah…
L’armée israélienne, engagée dans une offensive aérienne contre le Hamas dans la bande de Gaza, diffuse, dans le même temps, sa propre production audiovisuelle sur le site Internet YouTube, plus habitué à héberger les derniers clips à la mode. Au programme, une série de vidéos montrant le déroulement des opérations militaires ou l’acheminement de l’aide humanitaire israélienne destinée aux habitants palestiniens de Gaza.
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