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Le responsable de la division de Recherches des renseignements militaires a mis en garde ce dimanche (10 décembre 06) les membres du cabinet ministériel face aux préparatifs syriens. Explications.

Nier l’existence de l’Holocauste est devenu le dernier sport à la mode chez les dirigeants du régime des mollahs. Certes tous les négationnistes étaient depuis 27 ans les bienvenus à Téhéran, mais désormais les mollahs s’affichent avec ses personnages. Il y a une volonté délibérée de créer des crises internationales. L’objectif de créer des crises est de faire peur à la communauté internationale et contraindre cette dernière à accepter un compromis avec ce régime.

Le Hamas s’est opposé au souhait du président Abbas et de l’OLP de procéder à des législatives anticipées. « Je n’ai pas d’autre choix que d’aller à des élections anticipées » a déclaré M. Abbas, cité par un membre de la direction de l’OLP. « Je pense que l’appel à la tenue d’élections de cette manière est irrespectueux à l’égard du peuple palestinien », a immédiatement réagi le premier ministre Ismaïl Haniyeh, issu du Hamas.

Le Conseil représentatif des institutions juives de France est « satisfait » des déclarations tenues par la candidate PS à Jérusalem en faveur de la politique israélienne. Dans un communiqué diffusé mardi 5 décembre, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s’est dit « satisfait » des « nouvelles déclarations » de Ségolène Royal pendant son voyage en Israël.

Les adversaires du sionisme, dès ses débuts jusqu’à nos jours, en passant par les débats de l’ONU en 1947, ont mis en avant deux thèses principales pour contester son statut de mouvement national, visant à l’indépendance du peuple juif

Le papier présenté par la Commission pour l’Irak et à sa tête l’ancien secrétaire d’Etat Baker, au Président Bush, ressemble étrangement au bout de papier signé par Hitler et brandit par Chamberlain à sa descente d’avion, de retour de Munich.
Alors, les masses européennes criaient de joie pour la paix sauvée !

Véritable cauchemar pour la diplomatie israélienne, le rapport sur la situation en Irak présenté mercredi au Congrès américain par l’ex-secrétair d’Etat James Baker a été accueilli plus que froidement en Israël. « On ne peut pas s’occuper efficacement de l’Irak en l’isolant des autres grands problèmes, intérêts et conflits non résolus dans la région », estiment les auteurs de ce document, qui proposent une refonte de la stratégie américaine au Proche-Orient.

Il est impossible d’instaurer une paix équitable et durable au Proche-Orient sans la participation de la Syrie, avait déclaré aux journalistes jeudi un diplomate russe de premier plan.

Le ministre français des Affaires étrangères a taclé mardi Ségolène Royal sur ses récents propos concernant le nucléaire civil iranien, lui rappelant que Téhéran a le droit d’y accéder dans le cadre du Traité de non prolifération nucléaire (TNT).

Obsédés par l’Irak, nous avons perdu de vue le reste du monde.
Durant ces dernières années, les dictateurs et les terroristes ont gagné du terrain, et à juste raison. La catastrophe de plus en plus profonde en Irak a éloigné la seule superpuissance mondiale de ses vrais objectifs, et affaibli les USA aussi bien politiquement que militairement. Face à un nouveau leadership au Congrès, qui menace de faire la même faute -ne pas voir l’Irak comme seulement une pièce d’un plus grand puzzle - il est temps de revenir aux bases du planning stratégique.

La lecture de cette dépêche du Figaro, présentée comme rédigée sur une base Reuters, ne laisse place à aucun doute : Israël a une nouvelle fois rompu le cessez-le-feu...

Ségolène Royal, en empathie avec le Hezbollah : un des effets de la politique arabe de la France. Répondant, vendredi dernier à Beyrouth, à un député du parti islamiste qui comparait la stratégie américaine au Moyen-Orient à une « démence illimitée » et Israël au nazisme, elle a déclaré : « Il y a beaucoup de choses que je partage dans ce que vous avez dit, notamment votre analyse sur les États-Unis. » Il aura fallu vingt-quatre heures pour qu’elle assure n’avoir pas entendu l’insulte antisioniste, qui l’aurait fait « quitter la salle ». 

Le bataillon russe de pontonniers ayant accompli une mission au Liban est rentré vendredi en Russie, a indiqué à RIA Novosti le porte-parole du département logistique de l’armée russe, Alexandre Kolpakov.

Le ministre israélien pour les Affaires stratégiques, Avigdor Liberman, estime que son pays pourrait régler lui-même le problème nucléaire considéré ici comme le danger numéro un pour la sécurité et l’existence de l’Etat hébreu.

A l’occasion de la sortie en France du film « Une jeunesse comme aucune autre » (1), histoire de deux jeunes conscrites de Tsahal, « Le Figaro Magazine » a rencontré ces femmes qui servent sous l’uniforme israélien.

Le rapport Baker n’est pas une proposition faite pour forcer Israël à faire des concessions afin de résoudre le problème irakien a déclaré l’un de ses rédacteurs au Jerusalem Post. « Ce n’est pas le sens du rapport » a dit Edward Djerejian ; ajoutant pourtant qu’il n’était « pas surprenant » qu’en Israël on le comprenne comme ça. Le but, dit Djerejian, était de « tester les intentions des voisins d’Israël ».

Le premier ministre israélien Ehoud Olmert a exprimé son désaccord hier avec le rapport Baker-Hamilton. Ses proches l’avaient devancé, évoquant dès la veille le risque pour Israël de se retrouver « isolé » ou d’avoir à « payer le prix du gâchis en Irak ».

Le rapport de la commission Baker recommande également au président Bush de redoubler d’efforts sur le conflit israélo-palestinien, pour en faire la pierre angulaire de sa nouvelle approche de la guerre en Irak.

Le Premier ministre libanais Fouad Siniora a accusé le Hezbollah de préparer un coup de force pour le renverser, nouvelle escalade dans la guerre des mots entre le gouvernement et l’opposition prosyrienne.
Jeudi soir, le chef de file du mouvement chiite, le cheikh Hassan Nasrallah, avait promis devant des milliers de partisans de l’opposition rassemblés dans le centre de Beyrouth de poursuivre jusqu’à la victoire le mouvement lancé il y a huit jours pour faire tomber le gouvernement, en organisant des « sit-in » de protestation près des bureaux du Premier ministre.

Le Premier ministre palestinien a réaffirmé à Téhéran que son mouvement, le Hamas, ne reconnaîtrait pas Israël et poursuivrait la lutte contre ce pays jusqu’à la « libération » de Jérusalem. Ismaïl Haniyeh effectue une visite de quatre jours en Iran.