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Ce matin, la radio officielle ainsi que les quotidiens israéliens ont rendu publique l’information que nous communiquait Sami el-Soudi voici trois mois, dans son papier « Pas si unilatéral, ce retrait » .

Quand la guerre touche des civils, le bilan humain qu’il soit juif ou arabe est toujours trop lourd. Pourtant, la mécanique bien huilée de l’indignation internationale oublie les femmes et les enfants déchiquetés dans les tôles de leurs autobus explosés pour ne rappeler que le sort des enfants palestiniens. L’indignation devrait être aussi forte dans un cas comme dans l’autre.

Israël a eu des contacts secrets dans les récentes semaines avec l’officiel palestinien senior Mohammed Dahlan sur un contrôle supposé de la sécurité de la Bande de Gaza après un retrait futur, a annoncé lundi Kol Israël , la confirmation par des officiels israéliens opposés aux contacts a fait validé le rapport pour annuler l’initiative.

La torture est une pratique courante, et de nombreux Etats arabes, au titre sans doute de l’exception culturelle, s’acharnent à la préserver.

La charette et sa bombe ont sauté prématurément, ont dit des témoins, rejetant un compte rendu antérieur faisant état d’une frappe aérienne israélienne.

Plusieurs journaux arabes du Golfe ont dernièrement évoqué des rapports sur l’entraînement au djihad en Irak que suivent, en Syrie, de jeunes Koweïtiens. Voici quelques extraits de tels rapports :

Les renseignements de l’Etat-major affirment être en possession d’une cassette vidéo montrant des terroristes palestiniens entrant dans une ambulance de l’UNRWA (UN Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East) peu de temps après l’explosion du véhicule militaire blindé dans le quartier de Zeitoun à Gaza.

Un flot d’aide humanitaire a été déversé dans Rafah pendant le week-end alors que Tsahal se préparait à opérer dans d’autres parties de la ville.

Une manifestation contre l’antisémitisme a eu lieu à Paris, le 16 mai dernier. S’y sont retrouvées moins de cent mille personnes (dix mille ? Ndlr.). Lorsqu’un combat est important en France, le chiffre des manifestants se monte à des centaines de milliers de personnes, quelquefois à un million ou davantage. La lutte contre l’antisémitisme n’est pas un combat important aux yeux des français, c’est évident.

Les Palestiniens annoncent que les troupes se retirent des quartiers de Tel Sultan et Brazil. Tsahal : nous nous réorganiserons et continuerons. Des sources américaines : Olmert a promis que les démolitions s’arrêteront.

je vous signale que la France a décidé d’apporter une aide d’urgence aux Palestiniens de Rafah, sous forme d’achat de médicaments et d’équipements pour l’hôpital de Rafah.

« On quitte Rafah », titre en manchette le Yediot Aharonot, qui précise que le gros des forces israéliennes devrait évacuer Rafiah aujourd’hui ; le reste se retirera graduellement dans le courant de la semaine prochaine. L’opération de Tsahal dans la Bande de Gaza reste donc à l’ordre du jour - mais elle suscite des réactions divergentes.

Il a rappelé que le Quartet avait exhorté « le Président Arafat à prendre une décision historique en renforçant et en recentrant l’Autorité palestinienne, en mettant fin au vide et à la paralysie actuelle, et en revitalisant la direction palestinienne »

Le supplément politique du Yédiot Aharonot publie un entretien avec le caricaturiste du Monde, Jean Plantu en visite actuellement en Israël.

Fin avril 2004, l’hôtel Al-Sham de Damas a abrité un symposium sur « le dialogue des médias », organisé par le Service mondial de la BBC sous les auspices du ministre syrien de l’Information. Parmi les participants se trouvaient des journalistes et des intellectuels syriens, dont certains sont partisans d’une société civile. Le symposium a évoqué la situation des médias en Syrie.

Le tir préventif envoyé près des manifestants défilant vers Tel el-Sultan dans le camp de Rafah mercredi et qui a eu comme résultat huit Palestiniens tués, était le dernier recours pour prévenir le fait que des Palestiniens armés et cachés dans la foule, attaquent les soldats et pour isoler une unité spéciale du reste des troupes, a déclaré aux journalistes à un briefing vendredi, le Général de brigade. Shmuel Zakai, le commandant de division de la Bande de Gaza.