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Dans le cadre d’une opération de trois jours effectuée dans la ville de Naplouse, les forces de Tsahal ont découvert un laboratoire de fabrication de roquettes Kassam, plusieurs caches d’armes et un système de tunnels souterrains utilisés par les terroristes pour se dissimuler et planifier des attaques contre Israël.

Israël et les Palestiniens devraient entamer les négociations sur les questions-clés du conflit dans le cadre d’une commission spéciale dirigée par la ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni et l’ancien Premier ministre palestinien Ahmed Quorei.

Soixante ans après l’indépendance, Israël est un pays riche, futuriste, technologique et gai, mais menacé. Sa jeunesse le sait. A 60 %, elle soutient la droite nationaliste. Si les jeunes Israéliens de 2008 se retrouvaient dans la situation de leurs grands parents ou de leurs arrière grands parents en 1948, à la veille de l’indépendance, quel mouvement de résistance soutiendraient-ils ?

Décidemment, Ehud Olmert est friand de « mots » politiques. Il n’avait pas même fini d’énoncer son dernier « mot politique », fin décembre, (« s’il n’y a pas deux Etats, Israël est fini », que nous avons commenté dans le dernier Lien), qu’il inaugure déjà la nouvelle année civile avec un autre « mot historique ». Dans une interview accordée au Jerusalem Post du 1er janvier, il reconnaît d’abord avoir fait le choix du retour aux frontières de 1967 et de se résigner à la division de Jérusalem alors qu’il les avait démentis à maintes reprises il y a quelques jours.

Plusieurs milliers d’Arabes israéliens ont manifesté samedi dans la ville arabe de Nazareth (nord d’Israël), pour la levée par Israël du « blocus de Gaza ». Les manifestants ont défilé dans le calme dans le centre-ville en brandissant des pancartes exigeant la levée « du blocus criminel de la bande de Gaza » et proclamant que « Gaza ne sera jamais détruite ni par des tanks ni par l’artillerie » en référence aux attaques de l’armée israélienne.

“Israël en état de choc” : un essai dense et limpide de Frédéric Pons sur les faiblesses israéliennes. Pour comprendre les défis d’Israël, l’année de son soixantième anniversaire.

Pratiquement, tous les jours, le porte-parole du Quai d’Orsay est interrogé sur la situation au Proche-Orient, et c’est pratiquement Israël, qui est concerné. Sur la demi-douzaine de questions, il y a en a, toujours, une qui vise à conduire la diplomate (ou son adjoint) a faire preuve d’équilibrisme pour donner l’impression, tout apparente, que les deux parties sont traitées de la même façon, par la France, alors qu’elles sont pas dans la même situation.

L’armée israélienne a achevé ce soir une vaste opération de ratissage à Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie, après avoir mis sous couvre-feu 70.000 habitants de la ville, selon des sources concordantes israélienne et palestinienne. Les soldats israéliens, qui ont lancé cette opération jeudi avant l’aube, se sont retirés après avoir procédé à des perquisitions et des interpellations de suspects.

Notre travail consiste à mettre les faits au cœur du débat international - et non comme une excuse, mais dans le but de fournir une image complète de la complexité de la situation à laquelle Israël doit faire face, aux menaces auquelles nous sommes confrontés.

Le président américain George W. Bush a exhorté Israël à honorer son engagement de démanteler les avant-postes de Judée-Samarie. Dans une interview accordée à Reuters jeudi 3 janvier, il a précisé qu’une des raisons de son prochain voyage au Moyen-Orient visait à freiner les velléités nucléaires. Six jours avant son arrivée en Israël, Bush a ajouté qu’il s’attendait à être interrogé sur le récent rapport des services de renseignements américains (NIE) qui estime que l’Iran a arrêté son programme de nucléarisation en 2003.

Le vice-ministre israélien de la Défense s’est dit prêt samedi à échanger Marouan Barghouti, plus important prisonnier palestinien de l’Etat hébreu, contre le soldat Gilad Shalit, enlevé en juin 2006 par des militants proches du Hamas et détenu depuis quelque part dans la Bande de Gaza.

Des menaces d’attentats contre la ville de Paris et contre son maire Bertrand Delanoë,ont été proférées sur le site internet Al-Ekhlass, dont se sert souvent Al-Qaïda, une information rapportée par le SITE Intelligence Group (Search for International Terrorist Entities).

Les agences de presses occidentales se mélangent un peu les pinceaux concernant l’opération de moyenne ampleur qui a lieu à Gaza. Les causes, le bilan des morts et des blessés, font, comme souvent, l’objet de toutes les interprétations. Au moins 9 Palestiniens auraient perdu la vie, deux « activistes » islamistes et des civils, d’après des responsables d’un hôpital. Mais l’on sait que la frontière entre membres armés et civils est assez poreuse dans cette partie du globe, surtout lorsqu’il s’agit d’un bilan provenant du ministère de la santé du Hamas.

Le politiquement correct français ne tolère pas la libre-pensée. J’entends par là qu’il ne permet pas de proposer des réflexions, des analyses de situation objectives, sans avoir à l’esprit la peur du tabou ou d’être jugé pour outrage et condamné par la morale pour pensées abjectes, indécentes ou encore « intellectuellement graves » (j’ai personnellement eu droit à cette condamnation).

Les lecteurs du Figaro qui ont lu, ce 2 janvier, l’article titré « En 2007, une seule bombe humaine est parvenue à frapper l’État hébreu » auraient du peiner à deviner que la « parade anti-kamikaze » grâce à laquelle le nombre des attentats a connu « une chute spectaculaire » est en réalité le fameux mur-de-l’apartheid dont les palestinolâtres français font leurs choux gras depuis le début de sa construction, en 2003.

L’ambassadeur d’Israël en France Daniel Shek a déclaré, dans une interview publiée dans le numéro 129 (janvier 2008) de « Tenoua », la revue du Mouvement Juif libéral de France (MJLF), que "dans le fil naturel de l’histoire de l’humanité, le peuple juif doit avoir un État indépendant en terre d’Israël...

Pour la première fois, une fusée palestinienne a réussi a pénétrer aussi loin en territoire israélien, où elle a explosé sur un terrain vague à proximité d’une zone habitée, sans faire ni blessé ni dégâts. Le commandement général du Front Populaire pour la Libération de la Palestine, d’Ahmed Jibril, a revendiqué, pour la première fois, cette nouvelle attaque sur le Néguev, conjointement avec les brigades Al-Qods du Jihad islamique, et Salah A-Din de la branche armée des Comités de Résistance Populaire.

Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur l’intensification des violences perpétrées par des terroristes palestiniens en Israël et leur incidence politique, quelques jours avant la visite programmée du Président américain en Israël. Il s’agit d’une visite historique, la première en huit ans de mandat. George Bush se rendra en Israël le 9 janvier pour tenter de donner du souffle aux négociations israélo-palestiniennes, en panne depuis la Conférence d’Annapolis.

Le réseau Internet du Jihad Islamique Palestinien et ses fournisseurs d’accès (exact au 18 septembre 2007). Le Jihad Islamique Palestinien (JIP) est une relativement petite organisation terroriste islamique radicale soutenue par l’Iran et la Syrie et dirigée depuis son siège de Damas. Actuellement, le JIP est l’organisation responsable de la majorité des tirs de roquettes depuis la bande de Gaza sur Israël. Depuis 2005, il a dépassé le Hamas en commettant des attentats suicide à Tel-Aviv, Hadera, Netanya et dans d’autres centres de population en Israël.

Une fière et fervente réponse d’un Juif de Jérusalem, qui sait, lui, la valeur de Jérusalem pour la nation juive et ne reconnaît à personne - fût-il Premier ministre ou professeur d’université - le droit d’en disposer au gré des caprices de la politique internationale. (Menahem Macina).