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Face à l’éventualité d’une participation de la Syrie au sommet d’Annapolis, le Dr Elias Sam’o, expert en relations internationales et ancien conférencier de l’université d’Alep, publie un article sur le site www.syria-news.com [1], proche du gouvernement syrien, où il dénonce l’isolement que la Syrie s’impose à elle-même. Il estime que la Syrie devrait affronter Israël lors de conférences internationales et s’en servir pour diffuser sa position. Extraits :
Étonnement, la combinaison entre les bases faussées de la rencontre d’Annapolis et la mollesse du premier ministre israélien Ehud Olmert (« la paix est affaire de concession ») a généré quelque chose d’utile. En effet, rompant avec ses prédécesseurs, Olmert a exigé avec vigueur que ses partenaires de négociation palestiniens acceptent l’existence permanente d’Israël en tant qu’État juif, suscitant ainsi une réaction révélatrice.
Le président américain George Bush a annoncé dans son discours d’ouverture de la conférence d’Annapolis, que Palestiniens et Israéliens s’étaient mis d’accord pour entamer des négociations le 12 décembre afin d’arriver à un accord final avant la fin de l’année prochaine.
« La réalité de 67 changera fondamentalement et ce sera dur, mais nous sommes prêts » a déclaré le Premier ministre Ehoud Olmert dans un discours prononcé à Annapolis. Olmert a souligné : « Il n y a pas de pays arabes avec lequel nous ne voulons pas la paix ».
Le président américain George W. Bush a déclaré mardi qu’Israël devait être reconnu comme « la patrie des juifs », alors qu’Israéliens et Palestiniens s’entendaient pour parvenir à un accord de paix d’ici à la fin 2008. Il s’agit là d’une question éminemment conflictuelle entre Israéliens et Palestiniens. M. Bush a annoncé mardi devant une conférence internationale réunie à Annapolis, près de Washington, qu’Israéliens et Palestiniens s’étaient entendus pour relancer immédiatement les négociations de paix et pour tout faire afin de parvenir à un règlement avant fin 2008.
Les dirigeants Israéliens et Palestiniens se sont entendus mardi pour engager des discussions immédiates afin de résoudre leur conflit et déployer tous les efforts possibles pour parvenir à un règlement de paix avant la fin 2008.
Cet accord a été annoncé par le président américain George W. Bush, cinq minutes à peine avant le début de la conférence de paix d’Annapolis, destinée à mettre fin à 60 ans de conflit israélo-palestinien. La conférence rassemble une cinquantaine de pays et organisations, notamment 16 pays arabes participant pour la première fois à une réunion de paix au côté d’Israël.
De report en report et moins d’une semaine avant son ouverture, les autorités américaines ont finalement annoncé la tenue de cette conférence « historique » à Annapolis, dans le Maryland. Celle-ci constitue la seule véritable initiative « ambitieuse » du président George Bush à propos du conflit israélo-palestinien. Les tractations pour tenter de convaincre les différents acteurs en présence de participer à une telle « conférence » ont finalement payé.
George W. Bush affirme, dans un discours qu’il doit prononcer mardi 27 novembre lors de la conférence d’Annapolis, qu’il est temps de relancer les pourparlers de paix sur le Proche-Orient parce qu« ’une bataille est en cours pour l’avenir du Proche-Orient ».
Voici quelques idées au sujet de la conférence de paix de demain à Annapolis, et plus largement sur la façon d’aborder le conflit israélo-palestinien. Première question (l’on pourrait penser que c’est évident mais apparemment ça ne l’est pas) : « Sur quoi porte le conflit ? » Il y a fondamentalement deux cas possibles : le conflit porte soit sur la taille d’Israël, soit sur son existence.
La conférence organisée par les États-Unis à Annapolis pour faciliter la création d’un État démocratique palestinien, libéré de la corruption et du fléau des milices, vivant en paix aux cotés d’Israël, est vouée à l’échec. L’initiative américaine repose en effet sur un certain nombre de présupposés sans fondements.
Le président de l’Autorité palestinienne Mahmud Abbas continue de poser des conditions préalables à la création de l’Etat Palestinien comme le partage de Jérusalem, le retour des réfugiés, le retour aux frontières dites de « 1967 », l’arrêt de l’édification de la clôture de sécurité, la libération de milliers de prisonniers palestiniens. Ce faisant, le Président Palestinien n’envisage pas la création d’un Etat palestinien autrement qu’en niant la souveraineté israélienne comme si finalement l’Etat de Palestine ne pouvait naître que sur les ruines de l’ Etat juif.
Le président américain George Bush a reçu séparément le Premier ministre israélien et le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, avant l’ouverture officielle de la conférence internationale ce mardi. Il a assuré les deux hommes du soutien de l’administration américaine pour faire aboutir les pourparlers, et s’est affirmé optimiste pour l’avenir.
}Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a fait part lundi 26 novembre de son optimisme pour la conférence sur le Proche-Orient d’Annapolis, déclarant qu’il ne « s’attend pas » à l’échec. « Plus on est pessimiste, plus on risque les bonnes surprises », a avancé sur RTL Bernard Kouchner, qui s’est dit « modérément » pessimiste. « Tout le monde s’attend à l’échec, je ne m’y attends pas ».
De crainte que les organisations terroristes ne tentent de commettre un attentat visant à torpiller les pourparlers de paix d’Annapolis, l’establishment de la défense dans son ensemble a été placé en état d’alerte dimanche 25 novembre.
La ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni et le négociateur palestinien Ahmed Quoreï (Abou Ala) n’ont pas réussi dimanche soir 25 novembre à s’entendre sur une déclaration commune supposée être présentée mardi lors du sommet tant attendu d’Annapolis. Les deux se sont rencontrés pour des pourparlers improvisés à l’hôtel de la ministre des Affaires étrangères à Washington pour tenter, sans succès, d’arriver à un accord sur la déclaration.
Les pays arabes viennent de sortir une nouvelle carte de leur manche. Au poker menteur, ils sont rois. Alors que certaines concessions, demandées toujours au même pays, Israël, semblaient sur le point de satisfaire l’ensemble des participants, une nouvelle exigence vient d’être formulée. « Les ministres des Affaires étrangères (de la Ligue arabe) ont envoyé un message urgent aux Etats-Unis demandant que le plateau du Golan soit explicitement inclus à l’ordre du jour de façon à ce que la Syrie puisse participer aux discussions », a déclaré à l’AFP un diplomate.
La Syrie va participer à la conférence d’Annapolis Au terme d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe, réunis vendredi 23 novembre au Caire pour décider d’une position commune, l’Arabie Saoudite a décidé de répondre à l’invitation américaine. Au cours du week-end, Damas a également fait part de son intention de participer au sommet.
La Syrie sera représentée par le vice-ministre des Affaires étrangères, Fayçal Mekdad.
Les équipes de négociateurs palestiniens et israéliens sont arrivés dimanche à Washington, à la veille du sommet d’Annapolis qui débutera lundi soir. Ehud Olmert et Mahmoud Abbas rencontreront lundi séparément, le président américain George Bush, qui est à l’initiative de la tenue de la conférence de paix au Proche-Orient.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, a vivement critiqué les leaders arabes qui ont accepté de participer à la conférence d’Annapolis. « ‘Les noms des personnes qui ont reculé devant l’occupant sioniste et qui participent à la conférence, seront mentionnés négativement dans les livres d’histoire », a dit Ahmadinejad.
Quelle que soit l’issue du procès concernant l’affaire Al-Dura, une chose est sûre : personne ne peut dire que les soldats israéliens stationnés dans un bunker près du carrefour de Netzarim ont tué un enfant et blessé son père en septembre 2000.
Arlette Chabot, directrice de l’information de France 2 depuis 2004, l’a dit très clairement. Au moins 2 fois, à ma connaissance. Une fois sur les ondes de Radio J lors d’une interview réalisée par le journaliste et directeur de l’Information, Michel Zerbib. Une seconde lors d’une conférence de presse organisée par France 2 en réponse aux accusations de « mise en scène » de la mort de l’enfant reprises ici et là .
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